
Une liaison en 32 heures par la mer : un transit time intéressant pour les camionneurs (DR)
ESPAGNE/ITALIE. La nouvelle ligne de transport maritime de camions ne part pas de Barcelone ou de Valence qui disposent déjà de liaisons régulières avec la « Botte ».
Elles n’appartiennent pas non plus à l’armement italien Grimaldi qui truste le short sea shipping en Méditerranée occidentale. Non, les nouveaux échanges se déroulent entre deux ports secondaires, Castellon de la Plana, à 70 km au nord de Valence et Marina di Carrara, à 45 km de La Spezia.
Ce sont l’italien Logitec Lines (spécialisée dans la logistique multimodale, la société a été créée en 1994 et possède son siège à Piacenza) et le transitaire espagnol Boluda Cargo International qui ont lancé ce service outsider.
À raison de trois services hebdomadaires, deux navires relaieront les deux ports en 32 heures. Les prévisions tablent sur 20 000 remorques transportées par an grâce à deux navires à la capacité de 1.850 mètres linéaires (120 camions et 12 passagers-chauffeurs).
Ce calcul a été effectué à partir des bassins industriels adossés aux deux ports. ports italiens de Cagliari et Salerne sur sa dernière autoroute de la mer.
Elles n’appartiennent pas non plus à l’armement italien Grimaldi qui truste le short sea shipping en Méditerranée occidentale. Non, les nouveaux échanges se déroulent entre deux ports secondaires, Castellon de la Plana, à 70 km au nord de Valence et Marina di Carrara, à 45 km de La Spezia.
Ce sont l’italien Logitec Lines (spécialisée dans la logistique multimodale, la société a été créée en 1994 et possède son siège à Piacenza) et le transitaire espagnol Boluda Cargo International qui ont lancé ce service outsider.
À raison de trois services hebdomadaires, deux navires relaieront les deux ports en 32 heures. Les prévisions tablent sur 20 000 remorques transportées par an grâce à deux navires à la capacité de 1.850 mètres linéaires (120 camions et 12 passagers-chauffeurs).
Ce calcul a été effectué à partir des bassins industriels adossés aux deux ports. ports italiens de Cagliari et Salerne sur sa dernière autoroute de la mer.
Aides européennes et incitations financières
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À travers son second programme Marco Polo, l’Union européenne a aidé au démarrage de la ligne en apportant notamment 4 M€ au port de Castellon d’où partiront des chargements de fruits et légumes, carreaux de faïence, machines-outils et dérivés du pétrole.
D’autre part, les opérateurs routiers qui empruntent la ligne maritime bénéficieront de l'incitation financière de l’écobonus (remboursement jusqu'au 30% du prix des billets maritimes aux camionneurs).
Le nouveau service aura toutefois à affronter la concurrence de l’armateur italien Grimaldi qui prévoit de transporter 60 000 remorques entre Valence et les ports italiens de Cagliari et Salerne sur sa dernière autoroute de la mer.
D’autre part, les opérateurs routiers qui empruntent la ligne maritime bénéficieront de l'incitation financière de l’écobonus (remboursement jusqu'au 30% du prix des billets maritimes aux camionneurs).
Le nouveau service aura toutefois à affronter la concurrence de l’armateur italien Grimaldi qui prévoit de transporter 60 000 remorques entre Valence et les ports italiens de Cagliari et Salerne sur sa dernière autoroute de la mer.