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Said Saadi leader du RCD (photo DR)
ALGÉRIE. La Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) dite «partis politiques» qui appelait les Algériens à manifester le 5 mars 2011 n’a pas réussi son pari.
Trois marches étaient prévues à Alger et sa banlieue ainsi qu’une autre à Oran, capitale de l’Ouest et deuxième ville du pays. En multipliant les initiatives, les organisateurs cherchaient à entraver le dispositif policier qui avait empêché depuis quatre semaines les manifestants de marcher tous les samedis à Alger.
Mais cette tactique n’a visiblement pas porté ses fruits.
Aucune des quatre marches n’est parvenue à s’enclencher. A El Madania, quartier populaire situé sur les hauteurs d’Alger et d’où devait partir l’une des marches, l’hostilité de contre-manifestants majoritairement de simples habitants des quartiers concernés ont contraint Saïd Saadi, leader du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), à s’enfuir sous la protection de sa garde rapprochée.
A Oran, la police a interpellé plusieurs personnes avant même le début de la marche. Parmi elles, des syndicalistes et des journalistes.
Les observateurs présents sur les lieux constataient que la mobilisation décline de toute évidence de semaine en semaine.
Mais cela ne semble pas décourager les initiateurs qui ont déclaré, par la voix de Saïd Saadi, qu’ils continueraient «à organiser des marches car nous voulons changer le système qui nous empêche de tenir ces marches dans les différentes wilayas du pays ».
Lire aussi: Appel à manifester sur fond de levée de l’état d’urgence en Algérie
Les autorités algériennes contiennent les initiatives du 19 février 2011 en faveur du « changement et de la démocratie»
Trois marches étaient prévues à Alger et sa banlieue ainsi qu’une autre à Oran, capitale de l’Ouest et deuxième ville du pays. En multipliant les initiatives, les organisateurs cherchaient à entraver le dispositif policier qui avait empêché depuis quatre semaines les manifestants de marcher tous les samedis à Alger.
Mais cette tactique n’a visiblement pas porté ses fruits.
Aucune des quatre marches n’est parvenue à s’enclencher. A El Madania, quartier populaire situé sur les hauteurs d’Alger et d’où devait partir l’une des marches, l’hostilité de contre-manifestants majoritairement de simples habitants des quartiers concernés ont contraint Saïd Saadi, leader du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), à s’enfuir sous la protection de sa garde rapprochée.
A Oran, la police a interpellé plusieurs personnes avant même le début de la marche. Parmi elles, des syndicalistes et des journalistes.
Les observateurs présents sur les lieux constataient que la mobilisation décline de toute évidence de semaine en semaine.
Mais cela ne semble pas décourager les initiateurs qui ont déclaré, par la voix de Saïd Saadi, qu’ils continueraient «à organiser des marches car nous voulons changer le système qui nous empêche de tenir ces marches dans les différentes wilayas du pays ».
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