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Abdelilah Benkirane, nouveau chef du gouvernement (photo Christelle Marot)
MAROC. Un mois et demi après la victoire aux élections législatives du Parti Justice et Développement (PJD), Abdelilah Benkirane a annoncé la formation de son gouvernement.
Le PJD s’adjuge douze des trente ministères, parmi lesquels les Affaires étrangères, la Justice, l’Industrie, le commerce et les nouvelles technologies, l'équipement et le transport, l’Enseignement supérieur ou encore la Famille et le développement social, qui échoit à Bassima Haqqaoui, la seule femme de ce gouvernement.
Au terme d’intenses négociations, le portefeuille de l'Économie et des Finances échappe au PJD pour revenir à Nizar Baraka, issu de l’ Istiqlal et gendre de l’ancien Premier ministre Abbas El Fassi, et aujourd’hui membre de la coalition gouvernementale. Un signal à même de rassurer les opérateurs.
Aux Affaires étrangères, Youssef Amrani, rompu aux négociations commerciales avec l’Europe et il y a peu encore secrétaire de l’Union pour la Méditerranée (UpM) à Barcelone, fait son entrée comme ministre délégué.
Au total, l’Istiqlal obtient six ministères dont l’Éducation et celui de l’Énergie, des mines et de l’eau.
Sans surprise, l’Intérieur échappe également aux islamistes du PJD. Le ministère est désormais dirigé par Mohamed Laenser, secrétaire du Mouvement populaire, appuyé par Charki Draïss, ancien directeur de la DGSN.
Outre le Mouvement populaire, la coalition gouvernementale comprend des membres du PPS (Parti du progrès et du socialisme) et des technocrates.
En parallèle, depuis plusieurs semaines, plusieurs nouveaux conseillers ont fait leur entrée au Palais, des hommes de confiance du roi Mohammed VI, rompus aux dossiers sensibles : un « shadow cabinet » que le gouvernement Benkirane ne pourra pas évacuer.
Le PJD s’adjuge douze des trente ministères, parmi lesquels les Affaires étrangères, la Justice, l’Industrie, le commerce et les nouvelles technologies, l'équipement et le transport, l’Enseignement supérieur ou encore la Famille et le développement social, qui échoit à Bassima Haqqaoui, la seule femme de ce gouvernement.
Au terme d’intenses négociations, le portefeuille de l'Économie et des Finances échappe au PJD pour revenir à Nizar Baraka, issu de l’ Istiqlal et gendre de l’ancien Premier ministre Abbas El Fassi, et aujourd’hui membre de la coalition gouvernementale. Un signal à même de rassurer les opérateurs.
Aux Affaires étrangères, Youssef Amrani, rompu aux négociations commerciales avec l’Europe et il y a peu encore secrétaire de l’Union pour la Méditerranée (UpM) à Barcelone, fait son entrée comme ministre délégué.
Au total, l’Istiqlal obtient six ministères dont l’Éducation et celui de l’Énergie, des mines et de l’eau.
Sans surprise, l’Intérieur échappe également aux islamistes du PJD. Le ministère est désormais dirigé par Mohamed Laenser, secrétaire du Mouvement populaire, appuyé par Charki Draïss, ancien directeur de la DGSN.
Outre le Mouvement populaire, la coalition gouvernementale comprend des membres du PPS (Parti du progrès et du socialisme) et des technocrates.
En parallèle, depuis plusieurs semaines, plusieurs nouveaux conseillers ont fait leur entrée au Palais, des hommes de confiance du roi Mohammed VI, rompus aux dossiers sensibles : un « shadow cabinet » que le gouvernement Benkirane ne pourra pas évacuer.