FRANCE. Deux ou trois hommes lourdement armés ont fait irruption mercredi 7 janvier 2015 dans les locaux du journal satirique Charlie Hebdo à Paris.
Un bilan provisoire fait état de douze morts, et de trois personnes sérieusement blessées dont le pronostic vital demeure incertain, et d'une vingtaine d'autres blessés plus légers. Deux policiers ont été tués ainsi que plusieurs journalistes de l'équipe. Piliers du titre satirique, les dessinateurs Cabu, Charb et Wolinski figureraient parmi les victimes.
A l'heure où nous publions, les assaillants demeurent en fuite et aucune revendication n'a été faite.
Un bilan provisoire fait état de douze morts, et de trois personnes sérieusement blessées dont le pronostic vital demeure incertain, et d'une vingtaine d'autres blessés plus légers. Deux policiers ont été tués ainsi que plusieurs journalistes de l'équipe. Piliers du titre satirique, les dessinateurs Cabu, Charb et Wolinski figureraient parmi les victimes.
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Le journal satirique se veut irrévérencieux
Créé en 1970, Charlie Hebdo avait reçu plusieurs menaces notamment depuis la reprise dans ses pages de la série de caricatures de Mahomet parues dans le journal danois Jyllands-Posten. En novembre 2011, des cocktails Molotov provoquaient un incendie criminel dans les locaux de l'hebdomadaire en protestation à un numéro titré "Charia Hebdo" avec Mahomet comme rédacteur en chef. Mais le journal n'hésite pas à épingler toutes les religions et leurs extrémistes. Son directeur de la publication Charb disposait en permanence de deux policiers affectés à sa sécurité.
Après cet attentat, le plan Vigipirate a été augmenté au niveau 'Vigipirate attentats" (menace imminente d'attentat), le niveau maximum, dans toute la région d'Ile de France.
Face à cette attaque et au nom de la liberté d'expression, fondement de la démocratie, la rédaction d'econostrum.info apporte son soutien à s'associe à la peine de l'équipe de Charlie Hebdo et aux familles des disparus, journalistes et policiers.
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