
Le campus Paris-Saclay de Nokia est l'un des deux sites menacés par les suppressions d'emplois (photo : Nokia)
FRANCE. L'équipementier télécoms Nokia annonce, mardi 19 septembre 2017, la suspension de son plan social jusqu'à la tenue d'un comité de suivi entre sa direction et les syndicats.
Le Finlandais, repreneur d'Alcatel International en avril 2015 - et qui avait promis à l'époque non seulement de conserver tous les effectifs en France mais de les augmenter (avec notamment 500 embauches en R&D) -, envisage de se séparer, d'ici fin 2019, de 597 salariés des fonctions centrales et support de ses filiales Alcatel Lucent International et Nokia Solutions and Networks (MSN) présentes sur ses sites de Paris-Saclay (Nozay- Essonne) et Lannion (Côtes-d'Armor), sur un total de 4 200 personnes. Ces départs interviendraient après une premier plan de 400 licenciements en France en 2016.
Suite à l'intervention de Benjamin Griveaux, secrétaire d'Etat français auprès du ministère de l'Economie, - qui estime que l'entreprise ne respecte pas ses promesses d'embauches dans la R&D - Thierry Boisnon, président de Nokia France décide donc de temporiser sur le dossier.
Le Finlandais, repreneur d'Alcatel International en avril 2015 - et qui avait promis à l'époque non seulement de conserver tous les effectifs en France mais de les augmenter (avec notamment 500 embauches en R&D) -, envisage de se séparer, d'ici fin 2019, de 597 salariés des fonctions centrales et support de ses filiales Alcatel Lucent International et Nokia Solutions and Networks (MSN) présentes sur ses sites de Paris-Saclay (Nozay- Essonne) et Lannion (Côtes-d'Armor), sur un total de 4 200 personnes. Ces départs interviendraient après une premier plan de 400 licenciements en France en 2016.
Suite à l'intervention de Benjamin Griveaux, secrétaire d'Etat français auprès du ministère de l'Economie, - qui estime que l'entreprise ne respecte pas ses promesses d'embauches dans la R&D - Thierry Boisnon, président de Nokia France décide donc de temporiser sur le dossier.
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