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Seule la réunion du congrès à Versailles pourra voter la règle d'or (photo DR)
FRANCE. Alors que l'Italie et l'Espagne viennent d'adopter un pacte de stabilité financière, le promoteur de cette "règle d'or" avec l'Allemagne, Nicolas Sarkozy, semble connaître des contre-temps sur le sujet.
Mercredi 7 septembre 2011, plusieurs journaux français annonçaient que le président français renonçait à réunir le Congrès pour faire voter cette "règle d'or" qui vise tout simplement à inscrire l'équilibre budgétaire dans la Constitution avec un retour sous trois ans à l'équilibre des comptes publics. Une affirmation démentie par l'Elysée pour qui "la détermination du président sur la règle d'or est intacte."
Le premier ministre français François Fillon débute mercredi 7 septembre 2011 les consultations avec les différents partis politiques pour tenter d'obtenir leur aval.
Reste que l'opposition, Parti socialiste en tête, a clairement indiqué son intention de ne pas voter ce pacte de stabilité. Pour être adopté, il doit recueillir les trois-cinquièmes des voix de l'Assemblée nationale et du Sénat réunis en Congrès à Versailles. La proximité des élections présidentielles (printemps 2012) expliquent en premier lieu cette position.
Mercredi 7 septembre 2011, plusieurs journaux français annonçaient que le président français renonçait à réunir le Congrès pour faire voter cette "règle d'or" qui vise tout simplement à inscrire l'équilibre budgétaire dans la Constitution avec un retour sous trois ans à l'équilibre des comptes publics. Une affirmation démentie par l'Elysée pour qui "la détermination du président sur la règle d'or est intacte."
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