
Nicolas Sarkozy, chef de l'Etat français (copyright : Elysée)
FRANCE. Nicolas Sarkozy fait le bilan, au cœur de sa quatrième conférence de presse du lundi 27 juin 2011, de son plan "grand emprunt", lancé en janvier 2010 et qui doit se poursuivre jusqu'en décembre 2011: un bilan économique à moins d'un an de l'élection présidentielle. Il annonce en outre le déblocage d'1 mrd€ pour le nucléaire .
La plan "grand emprunt" repose sur une enveloppe d'investissement, prévue et annoncée par le chef de l’État, le 22 juin 2009 à Versailles, de 35 mrds€ de fonds publics et de 25 mrds€ de fonds privés pour les secteurs de l'enseignement supérieur, de la formation, pour la recherche, la santé et la capitalisation des "start-ups" des filières aéronautiques, spatiales, automobiles, ferroviaires et navales, du secteur numérique et du développement durable.
Selon le président, la France a déjà engagé plus de 13 mrds€ au titre des investissements d'avenir et espère atteindre les 20 mrds€ d'ici la fin de l'année 2011.
Plus de 1 500 projets ont été déposés en un an et demi dont 396 ont été sélectionnés. 1 700 entreprises ont reçu un soutien financier. Nicolas Sarkozy promet une évaluation annuelle des résultats concrets produits par les 35 mrds€ d'investissements d'avenir.
Parmi les nouveaux projets de financement, celui d'un Institut hospitalo-universitaire (IHU) dont la recherche serait centrée sur le cancer et celui d'un fonds de 1 mrd€ pour le "nucléaire du futur" pour "renforcer la recherche dans le domaine de la sûreté nucléaire" et développer le nucléaire de 4e génération. 1,3 mrd€ seront consacrés aux énergies renouvelables pour financer «un démonstrateur de captage et de stockage du CO²». De plus, quelque 7,7 mrds€ seront engagés pour des pôles universitaires « d'envergure mondiale ».
La plan "grand emprunt" repose sur une enveloppe d'investissement, prévue et annoncée par le chef de l’État, le 22 juin 2009 à Versailles, de 35 mrds€ de fonds publics et de 25 mrds€ de fonds privés pour les secteurs de l'enseignement supérieur, de la formation, pour la recherche, la santé et la capitalisation des "start-ups" des filières aéronautiques, spatiales, automobiles, ferroviaires et navales, du secteur numérique et du développement durable.
Selon le président, la France a déjà engagé plus de 13 mrds€ au titre des investissements d'avenir et espère atteindre les 20 mrds€ d'ici la fin de l'année 2011.
Plus de 1 500 projets ont été déposés en un an et demi dont 396 ont été sélectionnés. 1 700 entreprises ont reçu un soutien financier. Nicolas Sarkozy promet une évaluation annuelle des résultats concrets produits par les 35 mrds€ d'investissements d'avenir.
Parmi les nouveaux projets de financement, celui d'un Institut hospitalo-universitaire (IHU) dont la recherche serait centrée sur le cancer et celui d'un fonds de 1 mrd€ pour le "nucléaire du futur" pour "renforcer la recherche dans le domaine de la sûreté nucléaire" et développer le nucléaire de 4e génération. 1,3 mrd€ seront consacrés aux énergies renouvelables pour financer «un démonstrateur de captage et de stockage du CO²». De plus, quelque 7,7 mrds€ seront engagés pour des pôles universitaires « d'envergure mondiale ».