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GRECE. Tandis que le chef de l'Etat français tablait sur une participation volontaire des banques et des compagnies d'assurance françaises au plan d'aide européen à la Grèce, la réunion tenue à Rome le lundi 27 juin 2011 entre les banques et les autorités européennes sur la participation du privé au sauvetage de la Grèce n'a pas abouti à une décision, selon une source du Trésor italien.
Ainsi, en France, les créanciers privés et le gouvernement concluent un accord de participation et de réinvestissement de 70% des sommes reçues des remboursements des emprunts grecs arrivés à échéance, dont 50% seraient alloués à l'achat de nouveaux emprunts grecs.
Nicolas Sarkozy, chef de l'Etat français confirme, lundi 27 juin 2011, l'entente avec les créanciers privés, "nous avons beaucoup travaillé (...) avec les banques et les compagnies d'assurance (...) sur ce que pourrait être une participation volontaire du privé et nous en avons conclu qu'en étalant les prêts sur une durée de trente ans, en les mettant au niveau des prêts européens, il y avait là un système que chaque pays pourrait sans doute trouver intéressant".
Parallèlement les députés grecs entament, lundi 27 juin 2011, à Athènes le débat sur l'adoption d'un nouveau plan de rigueur, exigé par l'UE et le FMI pour débloquer une nouvelle tranche de prêt à la Grèce. Le vote du projet de loi est prévu mercredi 29 juin et jeudi 30 juin 2011.
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