FRANCE. La start-up lyonnaise Navya prévoit de commencer à commercialiser ses premiers véhicules sans chauffeur avant la fin de l'année 2015, avec un objectif de quatre-vingts ventes en 2016. Un usage pour l'instant réservé aux sites privés car, faute d'accord entre les constructeurs automobiles et les assureurs, les voitures autonomes ne peuvent circuler librement. La législation interdit donc leur présence sur la voie publique.
Nommé Arma, ce véhicule électrique sans volant ni pédale peut rouler à 45 km/h et bénéficie d'une autonomie de plus de six heures. Navya s'est appuyée sur le fonds d'investissements Robolution Capital pour mener à terme son projet avec au moins un an d'avance sur les constructeurs automobiles.
Arma se situe entre la voiture et le minibus, avec une capacité de quinze passagers. Son coût, à partir de 160 000 €, peut apparaître dissuasif, mais les concepteurs de l'Arma promettent une économie sur les frais de fonctionnement de 30 à 40 %.
Navya va pour l'instant proposer ses Armas aux hôpitaux, grands sites industriels, aéroports... Une niche estimée à plusieurs milliers de véhicules par an pour l'Europe.
Nommé Arma, ce véhicule électrique sans volant ni pédale peut rouler à 45 km/h et bénéficie d'une autonomie de plus de six heures. Navya s'est appuyée sur le fonds d'investissements Robolution Capital pour mener à terme son projet avec au moins un an d'avance sur les constructeurs automobiles.
Arma se situe entre la voiture et le minibus, avec une capacité de quinze passagers. Son coût, à partir de 160 000 €, peut apparaître dissuasif, mais les concepteurs de l'Arma promettent une économie sur les frais de fonctionnement de 30 à 40 %.
Navya va pour l'instant proposer ses Armas aux hôpitaux, grands sites industriels, aéroports... Une niche estimée à plusieurs milliers de véhicules par an pour l'Europe.