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LIBAN. L’agence de notation Moody’s Investors Service maintient la note souveraine « B2 » du Liban. Moddy’s table sur une croissance du PIB de 1,7% en 2016, malgré une économie morose. Un taux plus faible que celui annoncé précédemment mais suffisant pour l’agence.
D’autres indicateurs demeurent positifs. Par exemple le niveau des réserves en devises de la Banque centrale du Liban avec 38 mrds$ (33 mrds€). L’agence précise que le taux de change restera stable en 2016. Elle accorde sa confiance au secteur bancaire libanais, qui grâce à des flux continus de crédits, assure un gage de solvabilité de la dette souveraine.
Mais Moody’s garde la perspective « négative » du Liban. La principale cause réside dans l’instabilité politique du pays, qui n'a plus de président depuis plus de deux ans et dont le Parlement s'est auto-renouvelé.
L’agence précise que les « risques potentiels du report de réformes permettant de réduire le déficit public » reste un obstacle à une amélioration de la situation économique du pays. Tout comme le déficit de la balance courante, le ralentissement de la croissance des dépôts ou les risques géopolitiques de la région.
D’autres indicateurs demeurent positifs. Par exemple le niveau des réserves en devises de la Banque centrale du Liban avec 38 mrds$ (33 mrds€). L’agence précise que le taux de change restera stable en 2016. Elle accorde sa confiance au secteur bancaire libanais, qui grâce à des flux continus de crédits, assure un gage de solvabilité de la dette souveraine.
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L’agence précise que les « risques potentiels du report de réformes permettant de réduire le déficit public » reste un obstacle à une amélioration de la situation économique du pays. Tout comme le déficit de la balance courante, le ralentissement de la croissance des dépôts ou les risques géopolitiques de la région.