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Face aux pressions présidentielles, Michèle Alliot-Marie accepte finalement de démissionner (photo DR)
FRANCE. Empêtrée et surtout décrédibilisée par son voyage en Tunisie en pleine révolution du Jasmin, Michèle Alliot Marie, ministre française des Affaires étrangères a présenté, dimanche 27 février 2011, sa démission tout juste revenue d'une visite officielle au Koweit.
Ce mini remaniement s'accompagne de l'arrivée de Claude Guéant, secrétaire général de l'Elysée, au ministère de l'Intérieur. L'actuel titulaire du poste, Brice Hortefeux, devient conseiller spécial de l'Elysée.
Elle est remplacée par Alain Juppé, actuel ministre de la Défense, poste qui revient à Gérard Longuet.
Dans sa lettre de démission adressée à Nicolas Sarkozy, président de la république française, Michèle Alliot-Marie indique : "cher Nicolas, je vous demande de bien vouloir accepter ma démission (...) Bien qu'ayant le sentiment de n'avoir commis aucun manquement, j'ai (...) décidé de quitter mes fonctions... Depuis quelques semaines, je suis la cible d'attaques politiques puis médiatiques, véhiculant, pour créer la suspicion, contre-vérités et amalgames (...) Depuis quinze jours, c'est ma famille qui subit de la part de certains médias un véritable harcèlement dans sa vie privée."
Ce mini remaniement s'accompagne de l'arrivée de Claude Guéant, secrétaire général de l'Elysée, au ministère de l'Intérieur. L'actuel titulaire du poste, Brice Hortefeux, devient conseiller spécial de l'Elysée.