
Le projet 2 000 MW sera réalisé dans le sud et le nord est du Maroc (photo CC-F. BISSON)
MAROC. Profitant de la venue au Maroc de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton, le roi Mohamed VI a annoncé le lancement d’un méga projet de production électrique d’origine solaire de 2 000 mégawatts.
Son coût : 9 mds$, soit un peu plus de 6 mds€.
A l’horizon 2020, sur près de 10 000 hectares, cinq sites seront réalisés : Ouarzazate, Foum El Oued, Boujdour et Sebkhat Tah dans le sud du pays, mais aussi Ain Beni Mathar dans la région de l’Oriental, qui abrite déjà une centrale thermo solaire.
La mise en œuvre du projet 2 000 MW sera confiée à l’Agence marocaine pour l’énergie solaire, récemment créée à cet effet.
Son coût : 9 mds$, soit un peu plus de 6 mds€.
A l’horizon 2020, sur près de 10 000 hectares, cinq sites seront réalisés : Ouarzazate, Foum El Oued, Boujdour et Sebkhat Tah dans le sud du pays, mais aussi Ain Beni Mathar dans la région de l’Oriental, qui abrite déjà une centrale thermo solaire.
La mise en œuvre du projet 2 000 MW sera confiée à l’Agence marocaine pour l’énergie solaire, récemment créée à cet effet.
Premiers appels d'offres pour fin 2010
Ne manquez pas !
La pré-qualification des candidats pour la 1ère centrale (qui sera mise en service en 2015) aura lieu en Juin 2010. L’appel d'offres sera, lui, lancé dès septembre 2010.
Selon le directeur général de l’Office national de l’électricité (ONE), Ali Fassi Fihri, ce projet permettra d’assurer une capacité de production annuelle de 4 500 GW, soit 18% de la production nationale actuelle.
Il devrait permettre d’économiser en combustibles 1 million de tonne équivalent pétrole (TEP) et d’éviter l’émission de 3,7 millions de tonnes de CO² chaque année.
Selon le directeur général de l’Office national de l’électricité (ONE), Ali Fassi Fihri, ce projet permettra d’assurer une capacité de production annuelle de 4 500 GW, soit 18% de la production nationale actuelle.
Il devrait permettre d’économiser en combustibles 1 million de tonne équivalent pétrole (TEP) et d’éviter l’émission de 3,7 millions de tonnes de CO² chaque année.