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La Méditerranée en sécheresse
Meetobiz se présente comme un site de rencontres en lignes...pour entreprises. La plate-forme permet de consulter des appels d'offres de moins de 25 000 €, de vérifier les données légales et financières des entreprises, de trouver des fournisseurs, des clients, des partenaires. Le tout gratuitement.
Basée à Marseille, au pôle média de la Belle-de-Mai, la start-up a été créée en 2014 par Nathalie et Stéphan Plywacz . Après deux années de développement, le site propose ses services depuis quelques mois.
Sur la partie marchés publics, l'internaute peut consulter les appels d'offres de moins de 25 000 € et y répondre. Depuis 2015, ces derniers échappent à l'obligation de publication et deviennent donc difficiles à identifier pour les PME. « Nous rendons visible l'invisible », se félicite Nathalie Plywacz. « Nous travaillons main dans la main avec l'Etat car beaucoup de collectivités ne respectent pas les règles de passations de marchés quand il s'agit de petits montants. »
La loi impose aux collectivités de choisir entre trois devis minimum, de ne pas faire appel systématiquement au même fournisseur. « Notre plate-forme propose une solution simple et respectueuse des textes, qui met fin à certains abus », poursuit Nathalie Plywacz. « Les entreprises peuvent répondre à l'appel d'offres directement sur notre site, de façon dématérialisée. »
Le second volet de la plate-forme propose un moteur de recherche s'appuyant sur une base de données de plus de 3 millions de fournisseurs. À l'image des sites de location d'appartements ou de chambres d'hôtels, les clients peuvent donner leur avis sur le fournisseur qu'ils ont choisi. Enfin, grâce à des partenariats signés avec des structures comme Société.com, Infogreffe, la Coface ou encore la Banque de France, Meetobiz fournit un accès gratuit aux informations légales. Les Internautes peuvent donc vérifier la solvabilité de leurs clients et fournisseurs.
« Nous faisons gagner du temps aux PME », explique Nathalie Plywacz. « Les chefs d'entreprises peuvent accéder gratuitement à tous nos services. Il leur suffit de créer un compte. »
Basée à Marseille, au pôle média de la Belle-de-Mai, la start-up a été créée en 2014 par Nathalie et Stéphan Plywacz . Après deux années de développement, le site propose ses services depuis quelques mois.
Sur la partie marchés publics, l'internaute peut consulter les appels d'offres de moins de 25 000 € et y répondre. Depuis 2015, ces derniers échappent à l'obligation de publication et deviennent donc difficiles à identifier pour les PME. « Nous rendons visible l'invisible », se félicite Nathalie Plywacz. « Nous travaillons main dans la main avec l'Etat car beaucoup de collectivités ne respectent pas les règles de passations de marchés quand il s'agit de petits montants. »
La loi impose aux collectivités de choisir entre trois devis minimum, de ne pas faire appel systématiquement au même fournisseur. « Notre plate-forme propose une solution simple et respectueuse des textes, qui met fin à certains abus », poursuit Nathalie Plywacz. « Les entreprises peuvent répondre à l'appel d'offres directement sur notre site, de façon dématérialisée. »
Le second volet de la plate-forme propose un moteur de recherche s'appuyant sur une base de données de plus de 3 millions de fournisseurs. À l'image des sites de location d'appartements ou de chambres d'hôtels, les clients peuvent donner leur avis sur le fournisseur qu'ils ont choisi. Enfin, grâce à des partenariats signés avec des structures comme Société.com, Infogreffe, la Coface ou encore la Banque de France, Meetobiz fournit un accès gratuit aux informations légales. Les Internautes peuvent donc vérifier la solvabilité de leurs clients et fournisseurs.
« Nous faisons gagner du temps aux PME », explique Nathalie Plywacz. « Les chefs d'entreprises peuvent accéder gratuitement à tous nos services. Il leur suffit de créer un compte. »
Gratuit pour les entreprises, payant pour les collectivités
Le modèle économique de Meetobiz repose sur l'achat par les collectivités d'une licence qui leur permet de publier leurs marchés. « En 2018, la loi imposera aux collectivités de dématérialiser leurs appels d'offres. Pour les gros marchés, des sites existent déjà. Nous n'allons pas sur ce terrain. Nous ciblons les marchés de moins de 25 000 € car nous sommes seuls sur cette niche. Les collectivités ont besoin de cet outil de prospection. »
La start-up n'a pas encore réellement généré de chiffre d'affaires. Mais, pour neuf premiers mois de 2017, elle affiche 66 mises en relation, 1 087 utilisateurs actifs et 2 774 entreprises inscrites. Depuis sa création, elle a bénéficié de financements de la BPI, de French Tech, de Paca Émergence, d'Airbus. En deux tours de table, les business angels d'ABA (Alumni Business Angels) ont injecté dans Meetobiz la somme de 110 000 €.
L'embauche récente de deux commerciaux permet aujourd'hui à la start-up de démarrer réellement son activité commerciale. L'épreuve de vérité commence.
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