
Le millésime 2017 va se faire rare dans les caves. Photo GT.
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MEDITERRANEE. Les gelées et la grêle du printemps, puis la sécheresse de cet été vont se traduire pour les trois premiers producteurs de vins au monde par des baisses historiques de production : -13 millions d'hectolitres pour l'Italie, - 7 millions pour la France. Les chiffres ne sont pas encore connus en Espagne, mais ils devraient se situer entre – 5 et – 10 millions d'hectolitres.
L'Italie conservera donc sa place de numéro un mondial en volume, et la France celle de leader en chiffre d'affaires. L'Espagne restera troisième.
La production du millésime 2017 devrait chuter de 25% en Italie, pour descendre avec un peu plus de 41 millions d'hectolitres au volume le plus bas enregistré depuis 1947. Dans certaines régions comme l'Ombrie, la Sicile ou la Toscane, le recul dépassera 30%.
Niveau historiquement bas également en France avec dans le meilleur des cas – 18% de raisins vendangés, soit une production d'au maximum 37,2 millions d'hectolitres, probablement moins. Jamais depuis 1945 les viticulteurs français n'avaient si peu récolté. Les vignerons du Sud-ouest (Bordelais, Charentes) et du Nord-est (Jura et Alsace) sont les plus mal lotis. En Bourgogne et dans le Sud-est les résultats apparaissent beaucoup plus hétérogènes.
Seul bémol, la canicule de cet été devrait assurer un millésime 2017 de bonne qualité.
L'Italie conservera donc sa place de numéro un mondial en volume, et la France celle de leader en chiffre d'affaires. L'Espagne restera troisième.
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Seul bémol, la canicule de cet été devrait assurer un millésime 2017 de bonne qualité.