Voir aussi
-
Malte va recevoir 817 M€ de l'UE pour verdir et numériser son économie
-
La taxation des bénéfices nés de l'inflation rencontre de plus en plus d'adeptes au sud de l'Europe
-
Emmanuel Macron en "visite d'amitié" à Alger et Oran pour renouer les liens de la France avec l'Algérie
-
Les États membres de l'UE s'accordent sur un plan de réduction de leur consommation de gaz
-
La Commission européenne débloque 33,43 M€ pour rapprocher les deux communautés chypriotes

Le Conseil de l'Union européenne révise ses exigences après la crise (photo : Conseil de l'Union européenne)
EUROPE / MALTE. Réuni à Bruxelles les 15 et 16 février 2010, le Conseil de l'Union européenne, via le Conseil des affaires économiques et financières, a décidé d'octroyer un délai supplémentaire à Malte pour corriger ses déficits publics.
L'échéance pour les porter en dessous de 3% du Produit Intérieur Brut (PIB) prévue avant fin 2010 est reportée à fin 2011.
L'île méditerranéenne devrait achever l'année 2010 avec un déficit public de 3,9% et prévoit d'assurer un effort fiscal portant sur les trois-quart de son PIB l'année suivante.
Selon le pacte européen de stabilité et de croissance, les pays appartenant à la zone euro ou souhaitant y adhérer doivent gardent des finances publiques saines en maintenant leur déficit budgétaire à moins de 3 % du PIB. Si un pays dépasse ce seuil, ce qui a été fréquent avec la crise financière l'an dernier, les ministres européens des finances émettent des recommandations pour corriger le déficit.
En cas de non respect, les pays s'exposent à des sanctions qui peuvent toucher les crédits consentis par la Banque européenne d'investissement (BEI).
L'échéance pour les porter en dessous de 3% du Produit Intérieur Brut (PIB) prévue avant fin 2010 est reportée à fin 2011.
L'île méditerranéenne devrait achever l'année 2010 avec un déficit public de 3,9% et prévoit d'assurer un effort fiscal portant sur les trois-quart de son PIB l'année suivante.
Selon le pacte européen de stabilité et de croissance, les pays appartenant à la zone euro ou souhaitant y adhérer doivent gardent des finances publiques saines en maintenant leur déficit budgétaire à moins de 3 % du PIB. Si un pays dépasse ce seuil, ce qui a été fréquent avec la crise financière l'an dernier, les ministres européens des finances émettent des recommandations pour corriger le déficit.
En cas de non respect, les pays s'exposent à des sanctions qui peuvent toucher les crédits consentis par la Banque européenne d'investissement (BEI).