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Dean Forbes, Chief Executor Officer de KDS (KDS)
FRANCE. KDS dévoile son étude 2012 sur la gestion quotidienne des notes de frais. Quelles sont les démarches effectuées par les voyageurs d'affaires pour le remboursement de leurs déplacements professionnels? L'étude concerne principalement des voyageurs français.
KDS aide les entreprises à gérer et réduire les coûts de déplacement et permet également aux employés de faire respecter leurs droits lors de leurs déplacements professionnels.
En résumé, les voyageurs professionnels seraient majoritairement honnêtes (78,6 % avouent ne jamais avoir triché) lors de leurs déclarations de notes de frais. Que dire des 21.4% qui avouent tricher avec le système. Selon Alain Joyet, "il s’agit le plus souvent pour eux de se faire rembourser des notes qu’ils ont perdu ou dont le montant, trop faible, n’a pas fait l’objet d’une demande. On assiste plutôt à une compensation qu’à une simple volonté de tricherie".
La plupart des voyageurs d'affaires se montrent pour le moins agacés par la complexité du système de remboursement (59,3% d'entre eux avouent être énervés d’avoir à calculer eux-mêmes la TVA sur les notes de frais et 46,3 % se lassent d’avoir à obtenir systématiquement l’approbation d’un supérieur). Cependant, la numérisation a tout de même permis de nombreuses avancées. En effet, "celle ci fait gagner du temps à tout le monde : 43,1 % des collaborateurs mettent moins de 15 minutes pour la réaliser". KDS lie, en partie, la fraude à la complexité du système de remboursement et à ses aléas : "le voyageur n’est pas malhonnête mais il ne veut pas non plus subventionner son entreprise sur ses propres deniers".
L'organisme note également que les voyageurs anticipent et adaptent pour la plupart leurs frais aux dépenses engagées. Il arrive parfois même qu'ils s'acquittent des dépenses complémentaires d'un déplacement en faisant une avance personnelle. "Il faut comprendre qu’engager une dépense pour l’entreprise est toujours vécu comme une source d’angoisse pour le voyageur", commente Alain Joyet, sociologue d’entreprise, "c’est ce qui explique qu'apparait, dans cette étude, le besoin du voyageur d’anticiper des dépenses ou de les optimiser en raison d’un taux de change fluctuant".
KDS appelle alors "à la simplification des notes de frais, à la mise en place d'outils de gestion adaptés et à la transparence des règles de remboursement".
Voir la nouvelle étude de KDS concernant la sécurité des voyageurs d'affaires
KDS aide les entreprises à gérer et réduire les coûts de déplacement et permet également aux employés de faire respecter leurs droits lors de leurs déplacements professionnels.
En résumé, les voyageurs professionnels seraient majoritairement honnêtes (78,6 % avouent ne jamais avoir triché) lors de leurs déclarations de notes de frais. Que dire des 21.4% qui avouent tricher avec le système. Selon Alain Joyet, "il s’agit le plus souvent pour eux de se faire rembourser des notes qu’ils ont perdu ou dont le montant, trop faible, n’a pas fait l’objet d’une demande. On assiste plutôt à une compensation qu’à une simple volonté de tricherie".
La plupart des voyageurs d'affaires se montrent pour le moins agacés par la complexité du système de remboursement (59,3% d'entre eux avouent être énervés d’avoir à calculer eux-mêmes la TVA sur les notes de frais et 46,3 % se lassent d’avoir à obtenir systématiquement l’approbation d’un supérieur). Cependant, la numérisation a tout de même permis de nombreuses avancées. En effet, "celle ci fait gagner du temps à tout le monde : 43,1 % des collaborateurs mettent moins de 15 minutes pour la réaliser". KDS lie, en partie, la fraude à la complexité du système de remboursement et à ses aléas : "le voyageur n’est pas malhonnête mais il ne veut pas non plus subventionner son entreprise sur ses propres deniers".
L'organisme note également que les voyageurs anticipent et adaptent pour la plupart leurs frais aux dépenses engagées. Il arrive parfois même qu'ils s'acquittent des dépenses complémentaires d'un déplacement en faisant une avance personnelle. "Il faut comprendre qu’engager une dépense pour l’entreprise est toujours vécu comme une source d’angoisse pour le voyageur", commente Alain Joyet, sociologue d’entreprise, "c’est ce qui explique qu'apparait, dans cette étude, le besoin du voyageur d’anticiper des dépenses ou de les optimiser en raison d’un taux de change fluctuant".
KDS appelle alors "à la simplification des notes de frais, à la mise en place d'outils de gestion adaptés et à la transparence des règles de remboursement".
Voir la nouvelle étude de KDS concernant la sécurité des voyageurs d'affaires