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ITALIE. Pour protester contre la politique sociale du gouvernement Renzi et la réforme de l'emploi, avec à la clef notamment l'abolition de l'article 18 du code du Travail qui règlemente les licenciements abusifs, les syndicats italiens organisent, vendredi 12 décembre 2014, une grève générale.
Pendant huit heures, les salariés croiseront les bras et des manifestations importantes sont prévues à Rome, Milan et Turin. La Cgil, première confédération italienne qui compte plus de six millions d'adhérents, et la Uil, deuxième syndicat en termes d'inscrits à l'origine de la grève, marchent dans les grandes villes.
La Cisl, qui a refusé d'adhérer à cette journée, réfléchissait sur les possibilités d'une rupture avec le monde syndical. Partisane du dialogue, la Cisl aurait préféré laisser tomber la bataille sur la réforme de l'emploi en partant du principe qu'ayant été approuvée, les choses ne peuvent plus être changées.
Pour les autres syndicats en revanche, qui compare la réforme à un véritable démantèlement du secteur de l'emploi en termes de garanties puisqu'elle favorise la précarité et les recrutements à court et moyen terme, le mouvement ne fait que commencer.
Pendant huit heures, les salariés croiseront les bras et des manifestations importantes sont prévues à Rome, Milan et Turin. La Cgil, première confédération italienne qui compte plus de six millions d'adhérents, et la Uil, deuxième syndicat en termes d'inscrits à l'origine de la grève, marchent dans les grandes villes.
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