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La France ne sera pas représentée à la réunion de l'OIT à Istanbul (photo : OIT)
FRANCE / TURQUIE. Les organisations syndicales françaises refusent de se rendre à la 10e Réunion régionale européenne de l'Organisation internationale du travail qui se déroulera du lundi 2 au jeudi 5 octobre 2017 à Istanbul.
CGT, CFDT, FO, CFE/CGC, CFTC, UNSA, signataires d'un texte commun publié jeudi 28 septembre 2017, réagissent à l'appel lancé en mai 2017 par les affiliés turcs de la Confédération européenne des syndicats (CES) et de la Confédération syndicale internationale (CSI) aux autorités turques pour mettre fin aux licenciements collectifs; libérer les travailleurs, journalistes et élus emprisonnés; revenir à la règle du droit avec la présomption d'innocence; restaurer la liberté d'expression, de la presse et la réouverture des médias fermés. Des conditions sine qua non pour une participation à la conférence d'octobre.
Les syndicats français constatent "qu'aucune de ces demandes n'a été entendue. Pire, les dérives des autorités turques n'ont pas cessé et les répressions à l'égard des militants syndicaux et pour les droits de l'homme continuent". Ils suivront donc le mouvement initié par la CES et la CSI et ne participeront pas à cette réunion régionale sous l'égide du gouvernement turc.
Cette conférence se tient tous les quatre ans et rassemble les représentants tripartites des cinquante-et-un pays de la région Europe.
CGT, CFDT, FO, CFE/CGC, CFTC, UNSA, signataires d'un texte commun publié jeudi 28 septembre 2017, réagissent à l'appel lancé en mai 2017 par les affiliés turcs de la Confédération européenne des syndicats (CES) et de la Confédération syndicale internationale (CSI) aux autorités turques pour mettre fin aux licenciements collectifs; libérer les travailleurs, journalistes et élus emprisonnés; revenir à la règle du droit avec la présomption d'innocence; restaurer la liberté d'expression, de la presse et la réouverture des médias fermés. Des conditions sine qua non pour une participation à la conférence d'octobre.
Les syndicats français constatent "qu'aucune de ces demandes n'a été entendue. Pire, les dérives des autorités turques n'ont pas cessé et les répressions à l'égard des militants syndicaux et pour les droits de l'homme continuent". Ils suivront donc le mouvement initié par la CES et la CSI et ne participeront pas à cette réunion régionale sous l'égide du gouvernement turc.
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