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ESPAGNE. Il n'avait que jusqu'au 31 octobre 2016 pour former un gouvernement sous peine de devoir à nouveau, et pour la troisième fois de l'année, appeler les électeurs aux urnes le 18 décembre 2016. Mariano Rajoy va être sauvé, du moins provisoirement, par la décision, dimanche 23 octobre 2016, du Comité fédéral socialiste de s'abstenir lors du second tour du vote d'investiture, après avoir voté non au premier.
Cette décision est la suite logique de l' éviction, début octobre 2016, de Pedro Sanchez le patron du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE), fortement opposé à l'émergence d'un autre gouvernement Rajoy.
Le PSOE laisse donc le champ libre au Président du gouvernement par intérim (Parti Populaire, droite) pour former une coalition et se présenter serein pour son investiture devant le Parlement qui l'avait éconduit en septembre 2016.
C'est la fin d'un blocage institutionnel de dix mois. Mais pas une assurance tout risque pour Mariano Rajoy qui retrouvera au Parlement le PSOE comme adversaire de sa politique.
Cette décision est la suite logique de l' éviction, début octobre 2016, de Pedro Sanchez le patron du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE), fortement opposé à l'émergence d'un autre gouvernement Rajoy.
Le PSOE laisse donc le champ libre au Président du gouvernement par intérim (Parti Populaire, droite) pour former une coalition et se présenter serein pour son investiture devant le Parlement qui l'avait éconduit en septembre 2016.
C'est la fin d'un blocage institutionnel de dix mois. Mais pas une assurance tout risque pour Mariano Rajoy qui retrouvera au Parlement le PSOE comme adversaire de sa politique.