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ITALIE. Les pourparlers entre la direction des aciéries de Terni (centre de l'Italie), qui appartiennent à l’allemand Thyssenkrupp en 2001, et les syndicats sur le plan de restructuration du site avec à la clef la suppression de 552 postes et la réduction de la moitié de la production ont échoué.
Ce plan aurait débouché selon le groupe, sur une économie de 100 M€. Du coup, la direction a annoncé la réouverture des procédures de mobilité des salariés et ouvriers. Pour protester contre cette décision, les salariés de Terni ont bloqué la gare.
« Le gouvernement est intervenu pour pousser les parties à trouver un accord mais nous avons échoué. Nous avons encore trois mois devant nous pour éviter le pire » a déclaré Matteo Renzi, président du Conseil italien.
Le plan proposé par le gouvernement prévoyait la réduction des mises à pied (290 au lieu de 552), 110 M€ d’investissements, le déplacement à Terni des laminoirs de Turin et un programme de reconversion pour les salariés en surplus. Une proposition insuffisante selon les syndicats qui ont organisé des mouvements de grève perlées à Terni.
Ce plan aurait débouché selon le groupe, sur une économie de 100 M€. Du coup, la direction a annoncé la réouverture des procédures de mobilité des salariés et ouvriers. Pour protester contre cette décision, les salariés de Terni ont bloqué la gare.
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