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Christine Lagarde et David Lipton, premier directeur général adjoint, en conférence de presse (photo FMI)
EUROPE. Christine Lagarde, directrice générale du Fonds Monétaire International (FMI) s'est exprimée, jeudi 11 octobre 2012, sur fond de crise économique mondiale.
Elle dresse nombre de recommandations à destination des pays développés, mais aussi émergents.
L'Europe, "épicentre de la crise", reste l'urgence, mais les pays émergents "doivent surveiller de près les sources de leur vulnérabilité, certaines extérieures, d'autres intérieures". Globalement, il s'agit de réduire l'incertitude qui "freine les décisions en matière d'investissement et de création d'emplois".
Parmi les recommandations, Christine Lagarde prône l'achèvement de la réforme du secteur financier. "Si vous demandez à des superviseurs de par le monde si le secteur financier est plus sûr qu'il y a cinq ans, beaucoup diront « non, pas encore ». Et je suis d'accord avec eux", ajoute-t-elle.
La réduction des dettes semble être également un des points principaux avancés par la directrice générale. Dette qui "atteint aujourd'hui un niveau jamais vu, excepté en temps de guerre (...) avoisinant en moyenne les 110% du PIB dans les pays développés" en 2012.
Christine Lagarde espère que les pays réussiront à "favoriser une croissance riche en emplois" car "les taux de chômage que nous observons dans les pays avancés, en particulier, et chez les jeunes, sont terrifiants et inacceptables. Il faut donc s'attacher à mettre en place les conditions propices à une croissance qui est plus solidaire et, surtout, plus susceptible de créer des emplois".
Elle dresse nombre de recommandations à destination des pays développés, mais aussi émergents.
L'Europe, "épicentre de la crise", reste l'urgence, mais les pays émergents "doivent surveiller de près les sources de leur vulnérabilité, certaines extérieures, d'autres intérieures". Globalement, il s'agit de réduire l'incertitude qui "freine les décisions en matière d'investissement et de création d'emplois".
Parmi les recommandations, Christine Lagarde prône l'achèvement de la réforme du secteur financier. "Si vous demandez à des superviseurs de par le monde si le secteur financier est plus sûr qu'il y a cinq ans, beaucoup diront « non, pas encore ». Et je suis d'accord avec eux", ajoute-t-elle.
La réduction des dettes semble être également un des points principaux avancés par la directrice générale. Dette qui "atteint aujourd'hui un niveau jamais vu, excepté en temps de guerre (...) avoisinant en moyenne les 110% du PIB dans les pays développés" en 2012.
Christine Lagarde espère que les pays réussiront à "favoriser une croissance riche en emplois" car "les taux de chômage que nous observons dans les pays avancés, en particulier, et chez les jeunes, sont terrifiants et inacceptables. Il faut donc s'attacher à mettre en place les conditions propices à une croissance qui est plus solidaire et, surtout, plus susceptible de créer des emplois".