MONDE. Selon une nouvelle étude de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), "les recettes fiscales ont marqué un palier en 2018 dans les économies de l'OCDE puisqu'elles n'ont guère progressé par rapport à 2017, mettant ainsi un terme à plusieurs années de hausse du ratio impôts/PIB observée depuis la crise financière".
Cette nouvelle publication "Statistiques des recettes publiques 2019", rendue publique jeudi 5 décembre 2019, révèle que le ratio impôts/PIB a atteint les 34,3% en moyenne dans la zone OCDE en 2018, soit un niveau comparable à celui de 2017 (34,2%). Si dix-neuf pays ont connu une hausse, quatorze autres ont vu leurs recettes fiscales diminuer dont Israël, de 1,4 point.
Les pays méditerranéens de l'OCDE se distinguent d'ailleurs à chaque bout de l'échelle. La France occupe toujours la première place sur ce ratio avec 46,1% de recette d'impôts par rapport à son PIB. Elle précède le Danemark (44,9%) et la Belgique (44,8%). L'Italie occupe le septième rang (42,1%) et la Grèce la onzième place (38,7%).
En revanche, la Turquie entre dans le Top 5 des pays qui affichent le plus faible taux avec 24,4% de recettes d'impôts par rapport à son PIB.
Cette nouvelle publication "Statistiques des recettes publiques 2019", rendue publique jeudi 5 décembre 2019, révèle que le ratio impôts/PIB a atteint les 34,3% en moyenne dans la zone OCDE en 2018, soit un niveau comparable à celui de 2017 (34,2%). Si dix-neuf pays ont connu une hausse, quatorze autres ont vu leurs recettes fiscales diminuer dont Israël, de 1,4 point.
Les pays méditerranéens de l'OCDE se distinguent d'ailleurs à chaque bout de l'échelle. La France occupe toujours la première place sur ce ratio avec 46,1% de recette d'impôts par rapport à son PIB. Elle précède le Danemark (44,9%) et la Belgique (44,8%). L'Italie occupe le septième rang (42,1%) et la Grèce la onzième place (38,7%).
En revanche, la Turquie entre dans le Top 5 des pays qui affichent le plus faible taux avec 24,4% de recettes d'impôts par rapport à son PIB.