Voir aussi
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
-
Le champ gazier chypriote Aphrodite obtient des financements pour son premier forage
-
La Commission européenne réclame une intervention d'urgence sur les marchés de l'énergie
-
Eni acquiert les activités de BP en Algérie
-
Abdoulaye Bathily devient le nouvel envoyé spécial du secrétaire général de l'Onu en Libye

Le pétrole représente l'essentiel des exportations algériennes. Photo GT.
ALGÉRIE. Les recettes liées à la production d'hydrocarbures en l'Algérie devraient s'accroître de 20% en 2011, soit une hausse de quelque 11 mrds$ « si le prix du pétrole reste à son niveau actuel", indiquait mercredi 21 septembre 2011, le ministre de l'Énergie et des Mines, Youcef Yousfi à l'Institut algérien du pétrole (IAP) de Boumerdès à Alger.
En 2010, la production d'hydrocarbures de l'Algérie avoisinait les 214 millions de tonnes équivalents pétrole (Tep), dont 55,3 millions de Tep de pétrole brut et 145,8 millions de Tep de gaz naturel.
Seul bémol, le ministre aux Énergies estime que “ces dix dernières années, les technologies utilisées dans le domaine des hydrocarbures ont connu une évolution spectaculaire. Nous, nous sommes loin. Nous avons pris du retard”.
C'est pourquoi il appelle à la mise en oeuvre rapide du programme de recherche et développement dans le domaine des hydrocarbures. « Si nous ne démarrons pas immédiatement, nous continuerons à dépendre de l'extérieur». Il prêche également la création d'«une synergie entre l'IAP, l'Institut National des Hydrocarbures (INH) et les laboratoires de Sonatrach ».
En 2010, la production d'hydrocarbures de l'Algérie avoisinait les 214 millions de tonnes équivalents pétrole (Tep), dont 55,3 millions de Tep de pétrole brut et 145,8 millions de Tep de gaz naturel.
Seul bémol, le ministre aux Énergies estime que “ces dix dernières années, les technologies utilisées dans le domaine des hydrocarbures ont connu une évolution spectaculaire. Nous, nous sommes loin. Nous avons pris du retard”.
C'est pourquoi il appelle à la mise en oeuvre rapide du programme de recherche et développement dans le domaine des hydrocarbures. « Si nous ne démarrons pas immédiatement, nous continuerons à dépendre de l'extérieur». Il prêche également la création d'«une synergie entre l'IAP, l'Institut National des Hydrocarbures (INH) et les laboratoires de Sonatrach ».