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FRANCE. Selon un rapport, publié mercredi 25 octobre 2017 par le Conseil économique, social et environnemental (CESE) sous le nom "quelle politique pour les pôles de compétitivité", les pôles de compétitivité français ont de l'avenir mais souffrent de faiblesses. Le CESE suggère notamment de mieux les caractériser ainsi que leurs échelles d'action, de faciliter les coopération interpôles, de développer une méthodologie partagée d'évaluation, de lutter contre le saupoudrage en assurer une sélectivité rigoureuse lors du financement de projets, et de concentrer les financement sur l'innovation et le développement des produits et services.
Créés en 2004, "les pôles de compétitivité avait pour objectif de regrouper et faire travailler en synergie sur un même territoire des entreprises, des établissements d'enseignement supérieur et des organismes de recherche au profit de projet d'innovation, afin de dynamiser la compétitivité de notre industrie", rappelle le Cese. Dans son avis, le rapporteur Frédéric Grivot reconnaît que "l'objectif de décloisonnement des acteurs de l'innovation et leur mise à réseau est atteint" mais qu'il faut "désormais transformer l'innovation en produits et services créateurs de richesses et d'emplois". Bref, passer d'"usine à projets" à "usine à produits et services".
Le CESE voudrait distinguer les pôles à vocation nationale et régionale mais aussi, pour ces derniers, en appelle aux Régions à mieux les intégrer à leur stratégie de développement. Dans leur mission de soutien et de participation au pilotage des pôles de compétitivité situés sur leur territoire - attributions de la loi Notre (Nouvelle organisation territoriale de la République) - les Conseils régionaux pourraient ainsi attribuer "des aides à des actions collectives au bénéfice de plusieurs entreprises". Le rapport critique le manque d'interrelations enter les pôles et/ou les entités qui le portent. et évoque même "des concurrences entre des pôles géographiquement proches ou non" et des "divergences de vues" entre les collectivités lors de choix de soutien ou d'investissements de recherche.
Le Cese point également la faiblesse des évaluations menées par les pôles sur leurs bilan et la mauvaise prise en compte des recommandations qui leur sont faites. Son rapport demande aussi une meilleure association de Pme dans leur gouvernance.
Créés en 2004, "les pôles de compétitivité avait pour objectif de regrouper et faire travailler en synergie sur un même territoire des entreprises, des établissements d'enseignement supérieur et des organismes de recherche au profit de projet d'innovation, afin de dynamiser la compétitivité de notre industrie", rappelle le Cese. Dans son avis, le rapporteur Frédéric Grivot reconnaît que "l'objectif de décloisonnement des acteurs de l'innovation et leur mise à réseau est atteint" mais qu'il faut "désormais transformer l'innovation en produits et services créateurs de richesses et d'emplois". Bref, passer d'"usine à projets" à "usine à produits et services".
Le CESE voudrait distinguer les pôles à vocation nationale et régionale mais aussi, pour ces derniers, en appelle aux Régions à mieux les intégrer à leur stratégie de développement. Dans leur mission de soutien et de participation au pilotage des pôles de compétitivité situés sur leur territoire - attributions de la loi Notre (Nouvelle organisation territoriale de la République) - les Conseils régionaux pourraient ainsi attribuer "des aides à des actions collectives au bénéfice de plusieurs entreprises". Le rapport critique le manque d'interrelations enter les pôles et/ou les entités qui le portent. et évoque même "des concurrences entre des pôles géographiquement proches ou non" et des "divergences de vues" entre les collectivités lors de choix de soutien ou d'investissements de recherche.
Le Cese point également la faiblesse des évaluations menées par les pôles sur leurs bilan et la mauvaise prise en compte des recommandations qui leur sont faites. Son rapport demande aussi une meilleure association de Pme dans leur gouvernance.