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MEDITERRANEE. Aujourd'hui et demain (11 et 12 juin), les représentants des seize signataires (Albanie, Algérie, Bosnie-Herzégovine, Croatie, Chypre, Espagne, Égypte, France, Grèce, Italie, Malte, Monaco, Monténégro, Maroc, Slovénie, Tunisie, Turquie, Commission européenne, FAO, GFCM) en 2017 de la déclaration de Malte (MedFish4Ever) se rencontrent à Marrakech. Ils y dressent notamment un bilan d'étape en matière de protection des stocks de pêche en Méditerranée.
Le texte définit un programme de travail pour les dix prochaines années, afin de lutter contre le dépeuplement marin de la Méditerranée. Il prévoit la mise en place d'un système de collecte de données et d'évaluation scientifique régulière des stocks de poissons, l'élimination d'ici 2020 de la pêche illégale, le soutien financier des petits pêcheurs et aquaculteurs, et la création de plans de gestion pluriannuels des principales espèces.
La conférence organisée par la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture) et la CGPM (Commission générale des pêches pour la Méditerranée) devrait dresser un tableau alarmant de la situation. 91% des espèces de poissons pêchées vivant en Méditerranée voient leurs populations baisser en raison de la surpêche.
Le texte définit un programme de travail pour les dix prochaines années, afin de lutter contre le dépeuplement marin de la Méditerranée. Il prévoit la mise en place d'un système de collecte de données et d'évaluation scientifique régulière des stocks de poissons, l'élimination d'ici 2020 de la pêche illégale, le soutien financier des petits pêcheurs et aquaculteurs, et la création de plans de gestion pluriannuels des principales espèces.
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