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MÉDITERRANÉE. Les pays méditerranéens se font discrets dans la dernière édition (septembre 2015) du classement sur l'attractivité des marchés des pays concernant les énergies renouvelables publié par le cabinet de consultants EY.
Baptisé indice Recai, il n'accueille le premier Méditerranéen, la France, qu'à la 7e place. Dans ce classement dominé par un podium constitué des États-Unis, de la Chine et de l'Inde, le second méditerranéen, la Turquie, n'apparaît qu'à la 15e place mais progresse de deux rangs depuis la dernière édition en juin 2015. Suivent l'Italie (17e en recul d'une place), le Portugal (21e - stable), le Maroc (23e en progression de deux places) et l'Espagne (25e qui perd une place).
Israël, l'Égypte et la Grèce se situent au-delà de la 30e place. Athènes fermant ce classement de quarante pays avec une chute de cinq rangs.
Dans le classement régional Mena (Moyen-Orient Afrique du Nord) c'est donc le Maroc qui se trouve en tête avec un indice Recai de 49,7 (75 pour les États-Unis et 59,9 pour la France). Le pays occupe même le 4e rang mondial pour la technologie solaire CSP (Centrale solaire thermodynamique à concentration) derrière le podium constitué par les États-Unis, le Chili et l'Afrique du Sud.
Pour les technologies marines, la France prend la 4e place d'un classement dominé par la Corée du Sud suivie de l'Irlande et des Philippines.
Mis à part le Maroc et la France, aucun autre pays méditerranéen n'atteint les cinq premières places dans ce classement selon les technologies développées. La Turquie s'y approche avec deux 6e places pour le géothermique et l'hydraulique. Ainsi qu'Israël, 7e pour le solaire CSP.
L'indice Recai se fonde sur des indicateurs du marché de l'énergie croisés avec des indicateurs liés à la technologie pour mesurer l'attractivité de chaque pays en matière d'énergies renouvelables mais aussi les opportunités d'investissement.
Baptisé indice Recai, il n'accueille le premier Méditerranéen, la France, qu'à la 7e place. Dans ce classement dominé par un podium constitué des États-Unis, de la Chine et de l'Inde, le second méditerranéen, la Turquie, n'apparaît qu'à la 15e place mais progresse de deux rangs depuis la dernière édition en juin 2015. Suivent l'Italie (17e en recul d'une place), le Portugal (21e - stable), le Maroc (23e en progression de deux places) et l'Espagne (25e qui perd une place).
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Pour les technologies marines, la France prend la 4e place d'un classement dominé par la Corée du Sud suivie de l'Irlande et des Philippines.
Mis à part le Maroc et la France, aucun autre pays méditerranéen n'atteint les cinq premières places dans ce classement selon les technologies développées. La Turquie s'y approche avec deux 6e places pour le géothermique et l'hydraulique. Ainsi qu'Israël, 7e pour le solaire CSP.
L'indice Recai se fonde sur des indicateurs du marché de l'énergie croisés avec des indicateurs liés à la technologie pour mesurer l'attractivité de chaque pays en matière d'énergies renouvelables mais aussi les opportunités d'investissement.