
Les pays de l'Union européenne consacrent près de 50% de leur PIB à leurs dépenses administratives. (Photo F.Dubessy).
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EUROPE. Les pays de l’Union Européenne (UE) affectent 48,1% du PIB en 2014 pour leurs dépenses administratives publiques. Ce qui représente un total de 6 701 mrds€, selon le rapport d’Eurostat, l’office de statistique de l’Union européenne.
Ce chiffre représente la fonction « protection sociale », la santé, les services généraux des administrations publiques, l’enseignement, la fonction « ordre et sécurité publique ». Mais aussi, la défense, les loisirs, la culture, le culte ou encore la protection de l’environnement.
Plusieurs pays consacrent plus de 50% de leur PIB à ces dépenses administratives, comme la Finlande (58,7%), la France (57,2%) et le Danemark (57%). D’autres accordent moins d’importance à cet aspect de leur finance. La Lituanie et la Roumanie dépensent 34,9% de leur PIB dans les administrations publiques, la Lettonie 36,9% et l’Estonie 38,8%.
La Grèce est une nouvelle fois le mauvais élève de ce classement. Par rapport à l’année 2013, le pays perd 10,7 points. La Slovénie le suit de près dans cette descente avec une perte de 9,9 points. Chypre devient le bon élève avec une progression de 7,7% entre 2013 et 2014, loin devant Malte (+1,6%).
La France progresse de 0,2 pointdépense plus 1 226 mrds€ pour ses administrations publiques. L’Espagne y consacre 461 mrds€, le Portugal 84 mrds, la Croatie 20 mrds, l’Italie 826 mrds, Chypre 8 mrds et Malte 3 mrds.
Chaque pays gère différemment ses dépenses administratives publiques. Si le poste de la protection sociale arrive en premier dans chaque pays membres de l’UE, certains y consacrent plus de 40% de leur PIB comme la France, d’autres postes prennent de l’importance. L’Italie affecte 27,6% de son PIB aux protections sociales liées à la vieillesse. Chypre s’occupe pour une grande partie de l’enseignement (15,7%).
Pour d’autres, le second domaine reste les services généraux des administrations publiques, comme les affaires étrangères et les opérations concernant la dette publique. Chypre, la Croatie, le Portugal, Malte et l’Espagne y attribuent plus de 15% de leur PIB.
Ce chiffre représente la fonction « protection sociale », la santé, les services généraux des administrations publiques, l’enseignement, la fonction « ordre et sécurité publique ». Mais aussi, la défense, les loisirs, la culture, le culte ou encore la protection de l’environnement.
Plusieurs pays consacrent plus de 50% de leur PIB à ces dépenses administratives, comme la Finlande (58,7%), la France (57,2%) et le Danemark (57%). D’autres accordent moins d’importance à cet aspect de leur finance. La Lituanie et la Roumanie dépensent 34,9% de leur PIB dans les administrations publiques, la Lettonie 36,9% et l’Estonie 38,8%.
La Grèce est une nouvelle fois le mauvais élève de ce classement. Par rapport à l’année 2013, le pays perd 10,7 points. La Slovénie le suit de près dans cette descente avec une perte de 9,9 points. Chypre devient le bon élève avec une progression de 7,7% entre 2013 et 2014, loin devant Malte (+1,6%).
La France progresse de 0,2 pointdépense plus 1 226 mrds€ pour ses administrations publiques. L’Espagne y consacre 461 mrds€, le Portugal 84 mrds, la Croatie 20 mrds, l’Italie 826 mrds, Chypre 8 mrds et Malte 3 mrds.
Chaque pays gère différemment ses dépenses administratives publiques. Si le poste de la protection sociale arrive en premier dans chaque pays membres de l’UE, certains y consacrent plus de 40% de leur PIB comme la France, d’autres postes prennent de l’importance. L’Italie affecte 27,6% de son PIB aux protections sociales liées à la vieillesse. Chypre s’occupe pour une grande partie de l’enseignement (15,7%).
Pour d’autres, le second domaine reste les services généraux des administrations publiques, comme les affaires étrangères et les opérations concernant la dette publique. Chypre, la Croatie, le Portugal, Malte et l’Espagne y attribuent plus de 15% de leur PIB.