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FRANCE. La dette cumulée par les pays étrangers envers l’Assistance publique - Hôpitaux de Paris s’élève à 118 M€.
Le rapport de la direction en commission médicale d’établissement (CME), sorti le 7 juillet 2015, alerte sur les pertes de l'année 2014, et propose des solutions.
Cette somme concerne les patients français ou non, résidant à l’étranger, ainsi que leurs assureurs et non les patients étrangers résidant en France. Il s’agit principalement d’hospitalisations planifiées. En principe, le pays où réside le patient doit s’acquitter de la facture.
Ce chiffre (118M€) équivaut à plus du double du déficit du compte principal (activités de soins) des hôpitaux parisiens en 2014, soit 49 M€.
Les pays du Maghreb occupent le podium des mauvais payeurs. L’Algérie monte sur la première marche avec 31 M€ de dettes. Le Maroc prend la deuxième place avec 11 M€ de dettes. La Tunisie reste dans le haut du classement, mais avec un chiffre plus raisonnable, 4,7 M€.
L’Italie, l’Espagne et le Portugal ne sont pas en reste avec des dettes allant de 4 à 2 M€.
Les domaines les plus demandés par ces pays demeurent la pédiatrie (15% des hospitalisations), et la cardiologie (6,8%).
Pour tenter de contrer ce nombre élevé d’impayés, les pays ou organismes étrangers devront notamment payer d’avance, selon un devis calculé sur le tarif d’une journée majoré de 30%. La commission médicale d’établissement propose aussi de mieux cibler l’offre et de la structurer. Pour chaque prestation un forfait sera présenté en vue du devis.
Le rapport de la direction en commission médicale d’établissement (CME), sorti le 7 juillet 2015, alerte sur les pertes de l'année 2014, et propose des solutions.
Cette somme concerne les patients français ou non, résidant à l’étranger, ainsi que leurs assureurs et non les patients étrangers résidant en France. Il s’agit principalement d’hospitalisations planifiées. En principe, le pays où réside le patient doit s’acquitter de la facture.
Ce chiffre (118M€) équivaut à plus du double du déficit du compte principal (activités de soins) des hôpitaux parisiens en 2014, soit 49 M€.
Les pays du Maghreb occupent le podium des mauvais payeurs. L’Algérie monte sur la première marche avec 31 M€ de dettes. Le Maroc prend la deuxième place avec 11 M€ de dettes. La Tunisie reste dans le haut du classement, mais avec un chiffre plus raisonnable, 4,7 M€.
L’Italie, l’Espagne et le Portugal ne sont pas en reste avec des dettes allant de 4 à 2 M€.
Les domaines les plus demandés par ces pays demeurent la pédiatrie (15% des hospitalisations), et la cardiologie (6,8%).
Pour tenter de contrer ce nombre élevé d’impayés, les pays ou organismes étrangers devront notamment payer d’avance, selon un devis calculé sur le tarif d’une journée majoré de 30%. La commission médicale d’établissement propose aussi de mieux cibler l’offre et de la structurer. Pour chaque prestation un forfait sera présenté en vue du devis.