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SYRIE. Après seulement quelques heures, les négociations entre les rebelles syriens et le régime officiel ont été suspendues, mercredi 3 mai 2017 à Astana au Kazakhstan.
Les rebelles ont décidé de quitter la table à cause de violents bombardements aériens en Syrie qui frapperaient des civils. Ils ne reprendront les discussions que lorsqu'un engagement total sur la fin des bombardements sera pris.
Initiés par la Russie, l'Iran et la Turquie - les deux premiers soutenant Bachar al-Assad et le troisième les rebelles-, ces pourparlers visent à préparer la paix en Syrie. Staffan de Mistura, émissaire de l'Onu pour la Syrie, y participe ainsi que Stuart Jones, adjoint au secrétaire d'Etat américain, comme observateur.
Alors que les premiers rounds n'avaient permis que d'installer de fragiles trêves des combats, les négociations actuelles, les quatrièmes du nom, portaient sur la consolidation de la cessation des hostilités en Syrie. Ont notamment commencé à être évoquées les "zones de désescalade". Situées dans les territoires contrôlés par les rebelles, elles pourraient mettre un terme à la violence et permettre un retour volontaires des réfugiés.
La réunion d'Astana devait se dérouler jusqu'à jeudi 4 mai 2017.
Mardi 2 mai 2017, Vladimir Poutine affirmait après avoir échangé avec la chancelière allemande que "le règlement de la crise en Syrie ne pourrait s'effectuer que sur la base des pourparlers de Genève et d'Ankara et nous sommes certains que nous ne pouvons résoudre la crise que via l'Onu." Genève constitue le volet politique des négociations alors qu'Astana se concentre sur le chapitre sécuritaire.
Lire aussi :Les discussions reprennent sur la Syrie mais sans les rebelles...
Les rebelles ont décidé de quitter la table à cause de violents bombardements aériens en Syrie qui frapperaient des civils. Ils ne reprendront les discussions que lorsqu'un engagement total sur la fin des bombardements sera pris.
Initiés par la Russie, l'Iran et la Turquie - les deux premiers soutenant Bachar al-Assad et le troisième les rebelles-, ces pourparlers visent à préparer la paix en Syrie. Staffan de Mistura, émissaire de l'Onu pour la Syrie, y participe ainsi que Stuart Jones, adjoint au secrétaire d'Etat américain, comme observateur.
Alors que les premiers rounds n'avaient permis que d'installer de fragiles trêves des combats, les négociations actuelles, les quatrièmes du nom, portaient sur la consolidation de la cessation des hostilités en Syrie. Ont notamment commencé à être évoquées les "zones de désescalade". Situées dans les territoires contrôlés par les rebelles, elles pourraient mettre un terme à la violence et permettre un retour volontaires des réfugiés.
La réunion d'Astana devait se dérouler jusqu'à jeudi 4 mai 2017.
Mardi 2 mai 2017, Vladimir Poutine affirmait après avoir échangé avec la chancelière allemande que "le règlement de la crise en Syrie ne pourrait s'effectuer que sur la base des pourparlers de Genève et d'Ankara et nous sommes certains que nous ne pouvons résoudre la crise que via l'Onu." Genève constitue le volet politique des négociations alors qu'Astana se concentre sur le chapitre sécuritaire.
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