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MEDITERRANEE. Réunis à la Valette (Malte) jeudi 27 avril 2017, les ministres en charge de l'eau des États membres de l'Union pour la Méditerranée (UpM) ont convenu de développer "un agenda pour l'eau afin d'aider les États membres de l'UpM à mettre en oeuvre des politiques de gestion de l'eau durables et intégrées, contribuant à améliorer les conditions de vie des citoyens de la région", indique le texte adopté. Cet agenda sera mis en place par le Groupe d'experts sur l'eau (GEE) de l'UpM.
Les ministres demandent également "une amélioration de l'accès au financement afin de réduire l'impact négatif du changement climatique sur l'eau".
La déclaration ministérielle sur l'eau s'appuie sur l'Accord de Paris et l'agenda de développement durable à l'horizon 2030. Elle rappelle les "caractéristiques uniques de la région méditerranéenne qui la rendent particulièrement vulnérable à la pénurie d’eau et au changement climatique". L'objectif est d'arriver à un cadre régional pour la la politique de l'eau commun aux quarante-trois pays de l'UpM.
L'agenda de l'Upm repose sur un programme de travail destiné à fournir des recommandations, des propositions et des initiatives pour aider les membres de l'UpM à appliquer des approches de gestion des ressources en eau intégrées et assurer une meilleure coordination avec d'autres secteurs dans la région. Il sera accompagné d'une stratégie financière pour promouvoir le développement progressif de ressources financières et faciliter l'accès aux ressources financières.
"L’eau devrait être considérée comme un secteur prioritaire par les bailleurs de fonds, étant donné les coûts élevés des services de développement de l’eau. Le transfert de technologies et de connaissances, l’innovation et les solutions régionales sont nécessaires pour améliorer l’efficacité hydrique", souligne Hazim El-Naser, ministre jordanien de l'eau et de l'irrigation.
Voir la déclaration ministérielle des ministres de l'eau de l'Union pour la Méditerranée
Les ministres demandent également "une amélioration de l'accès au financement afin de réduire l'impact négatif du changement climatique sur l'eau".
La déclaration ministérielle sur l'eau s'appuie sur l'Accord de Paris et l'agenda de développement durable à l'horizon 2030. Elle rappelle les "caractéristiques uniques de la région méditerranéenne qui la rendent particulièrement vulnérable à la pénurie d’eau et au changement climatique". L'objectif est d'arriver à un cadre régional pour la la politique de l'eau commun aux quarante-trois pays de l'UpM.
L'agenda de l'Upm repose sur un programme de travail destiné à fournir des recommandations, des propositions et des initiatives pour aider les membres de l'UpM à appliquer des approches de gestion des ressources en eau intégrées et assurer une meilleure coordination avec d'autres secteurs dans la région. Il sera accompagné d'une stratégie financière pour promouvoir le développement progressif de ressources financières et faciliter l'accès aux ressources financières.
"L’eau devrait être considérée comme un secteur prioritaire par les bailleurs de fonds, étant donné les coûts élevés des services de développement de l’eau. Le transfert de technologies et de connaissances, l’innovation et les solutions régionales sont nécessaires pour améliorer l’efficacité hydrique", souligne Hazim El-Naser, ministre jordanien de l'eau et de l'irrigation.
Voir la déclaration ministérielle des ministres de l'eau de l'Union pour la Méditerranée