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Les Libanaises sont autorisées à ouvrir des comptes pour leurs enfants (photo DR)
LIBAN. L'histoire peut paraître anodine de l'extérieur, mais à Beyrouth, la décision de l'Association des banques libanaises (ABL) est vue comme une véritable avancée.
L'ABL a en effet décidé mardi 8 décembre 2009 d'accepter la proposition de l'association Justicia pour les droits de l'homme d'autoriser les mères libanaises à ouvrir des comptes bancaires fiduciaires pour leurs enfants mineurs.
Une étude, financée par Amideast, avait en effet mis à jour que les banques libanaises refusaient à la mère d'ouvrir un compte bancaire à son enfant mineur, ce type de démarche étant réservée au seul père, unique détenteur de la tutelle sur sa progéniture.
L'étude a démontré que l'ouverture de comptes pour un mineur par la mère ne porte pas atteinte à la puissance paternelle, dès lors qu'il profite entièrement au mineur, ni au droit libanais.
Une belle avancée dans un pays qui refuse encore à la mère libanaise le droit de transmettre sa nationalité à ses enfants.
L'ABL a en effet décidé mardi 8 décembre 2009 d'accepter la proposition de l'association Justicia pour les droits de l'homme d'autoriser les mères libanaises à ouvrir des comptes bancaires fiduciaires pour leurs enfants mineurs.
Une étude, financée par Amideast, avait en effet mis à jour que les banques libanaises refusaient à la mère d'ouvrir un compte bancaire à son enfant mineur, ce type de démarche étant réservée au seul père, unique détenteur de la tutelle sur sa progéniture.
L'étude a démontré que l'ouverture de comptes pour un mineur par la mère ne porte pas atteinte à la puissance paternelle, dès lors qu'il profite entièrement au mineur, ni au droit libanais.
Une belle avancée dans un pays qui refuse encore à la mère libanaise le droit de transmettre sa nationalité à ses enfants.