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Les ports espagnols, grecs, italiens et français épinglés par la Cour des comptes européenne. (photo: Puertos del Estado)
EUROPE. La Cour des comptes européenne vient de publier un rapport sur l’efficacité du recours aux fonds structurels et au fond de cohésion pour le développement des ports maritimes. Entre 2000 et 2006, 2,8 mrds € ont été affectés aux infrastructures portuaires maritimes, au titre de ces aides, essentiellement au profit de quatre pays qui ont capté plus de 90% de cette somme : l’Espagne (52,1%), la France (14,5%), la Grèce (12,7%) et l’Italie (12%).
Vingt sept projets ont été étudiés par la Cour qui dresse un bilan sévère, pointant de nombreux problèmes : des projets qui n’ont jamais abouti, d’autres qui ne répondent pas aux objectifs de la politique européenne des transports, d’autres encore qui ne peuvent être exploités car ils nécessitent des investissements annexes.
En réponse à ces critiques, Bruxelles avance notamment que « les résultats et l’impact des investissements dans les infrastructures de transport ne sont pas toujours perceptibles dès l’achèvement des travaux de construction ». La Commission argue en outre que ses méthodes de suivi et d’évaluation des projets ont déjà évolué depuis 2000 et évolueront encore pour la programmation 2014-2020.
Entre 2007 et 2013, un montant supplémentaire de 3,4 mrds € a été affecté aux investissements dans les ports maritimes européens dans le cadre de la politique de cohésion.
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