Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel

La Commission européenne demande des efforts supplémentaires à Chypre (photo DR)
CHYPRE / EUROPE. Avec un déficit public s'élevant à 6,1 % de son PIB en 2009 et une dette publique s’établissant à 56,2 % du PIB, Chypre fait l’objet d’une procédure de déficit excessif de la part de la Commission européenne.
Ce type de rapport est dressé dès lors qu’un Etat déborde du cadre fixé par le pacte de stabilité et de croissance. Il vise à établir le caractère « exceptionnel et temporaire » de la situation économique de cet Etat. Or dans le contexte actuel, les 27 peinent à rester dans les clous. Nombre de pays, à l’image de la France, de l’Italie ou de l’Espagne, ont déjà fait l’objet d’une telle procédure.
Cette fois, aux côtés de l’île méditerranéenne, sont également épinglés la Bulgarie, le Danemark, la Finlande et même Luxembourg, seul pays pour lequel la Commission conclut néanmoins que la situation est réellement transitoire.
Chypre avait anticipé cette annonce en présentant à Bruxelles son programme de stabilité visant à rétablir sa situation d’ici 2013. Un programme jugé un peu léger par le commissaire européen en charge des Relations économiques et financières qui considère que les mesures proposées visent essentiellement les recettes, alors que « les dépenses se situent à un niveau historiquement élevé ». Olli Rehn ajoute en outre que « la trajectoire d'ajustement pourrait pâtir d'hypothèses de croissance trop optimistes ».
Lire aussi:
Malte bénéficie d'un an supplémentaire pour réduire son déficit budgétaire à 3% du PIB
La Grèce coincée entre l'Europe et la rue
Ce type de rapport est dressé dès lors qu’un Etat déborde du cadre fixé par le pacte de stabilité et de croissance. Il vise à établir le caractère « exceptionnel et temporaire » de la situation économique de cet Etat. Or dans le contexte actuel, les 27 peinent à rester dans les clous. Nombre de pays, à l’image de la France, de l’Italie ou de l’Espagne, ont déjà fait l’objet d’une telle procédure.
Cette fois, aux côtés de l’île méditerranéenne, sont également épinglés la Bulgarie, le Danemark, la Finlande et même Luxembourg, seul pays pour lequel la Commission conclut néanmoins que la situation est réellement transitoire.
Chypre avait anticipé cette annonce en présentant à Bruxelles son programme de stabilité visant à rétablir sa situation d’ici 2013. Un programme jugé un peu léger par le commissaire européen en charge des Relations économiques et financières qui considère que les mesures proposées visent essentiellement les recettes, alors que « les dépenses se situent à un niveau historiquement élevé ». Olli Rehn ajoute en outre que « la trajectoire d'ajustement pourrait pâtir d'hypothèses de croissance trop optimistes ».
Lire aussi:
Malte bénéficie d'un an supplémentaire pour réduire son déficit budgétaire à 3% du PIB
La Grèce coincée entre l'Europe et la rue