
Susana Diaz (PSOE) conserve son poste de présidente de la région d'Andalousie, mais devra composer avec les nouveaux partis (photo Junta de Andalucia)

Susana Diaz (PSOE) conserve son poste de présidente de la région d'Andalousie, mais devra composer avec les nouveaux partis (photo Junta de Andalucia)
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ESPAGNE. Les élections régionales en Andalousie ont confirmé, dimanche 22 mars 2015, la fin annoncée du bipartisme en Espagne, avec la montée de Podemos, mais aussi d'un autre parti de centre droit, Ciudadanos. À eux deux, ils obtiennent plus du tiers des suffrages et autant de sièges au parlement andalou.
Les deux jeunes formations politiques récoltent respectivement 14,84 % et 9,28 % des voix, ce qui les place en position d'arbitres au parlement régional. Le Parti Socialiste (PSOE) de Susana Diaz, arrivé en tête avec 35,43 % des votes exprimés, devra en effet s'allier au moins avec l'un des deux nouveaux partis pour gouverner en Andalousie. De son côté, le Partido Popular (PP) du Premier ministre espagnol Mariano Rajoy s'effondre, perdant 30 % des voix par rapport aux dernières élections régionales de 2012.
À ce titre, le scrutin en Andalousie apparaît comme une « répétition générale » avant ce qui pourrait se passer dans l’ensemble du pays à l'occasion des prochaines élections générales, prévues pour le début d'année 2016.
lire aussi : Et si Podemos gagnait les élections en Espagne ?
Les deux jeunes formations politiques récoltent respectivement 14,84 % et 9,28 % des voix, ce qui les place en position d'arbitres au parlement régional. Le Parti Socialiste (PSOE) de Susana Diaz, arrivé en tête avec 35,43 % des votes exprimés, devra en effet s'allier au moins avec l'un des deux nouveaux partis pour gouverner en Andalousie. De son côté, le Partido Popular (PP) du Premier ministre espagnol Mariano Rajoy s'effondre, perdant 30 % des voix par rapport aux dernières élections régionales de 2012.
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