
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad et le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan veulent accroître les échanges bilatéraux (photo DR).
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TURQUIE. Le gouvernement turc veut renforcer son partenariat commercial avec l’Iran, en dépit des menaces de sanctions contre Téhéran. Ankara « agira dans le respect des décisions de l’ONU. Mais les sanctions décrétées par les Etats-Unis ne nous engagent pas », a déclaré lundi Zafer Caglayan, le ministre turc du Commerce extérieur.
Les échanges ont dépassé 7 mds € en 2009 et l’Iran pourvoie à un tiers des besoins énergétiques turcs.
Plusieurs banques turques ont été averties, fin septembre 2010, alors qu’elles sont soupçonnées par l’administration américaine d’abriter des avoirs iraniens. La compagnie pétrolière Tüpras, qui fournissait des produits raffinés à l’Iran, a décidé de renoncer à ses activités énergétiques avec le voisin oriental. Tüpras figure sur une liste d’entreprises étrangères, publiée par le Département d’Etat américain, qui ont annoncé l’arrêt de leurs activités en Iran.
Plusieurs banques turques ont été averties, fin septembre 2010, alors qu’elles sont soupçonnées par l’administration américaine d’abriter des avoirs iraniens. La compagnie pétrolière Tüpras, qui fournissait des produits raffinés à l’Iran, a décidé de renoncer à ses activités énergétiques avec le voisin oriental. Tüpras figure sur une liste d’entreprises étrangères, publiée par le Département d’Etat américain, qui ont annoncé l’arrêt de leurs activités en Iran.