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FRANCE. L'Assemblée nationale française a accepté, jeudi 4 octobre 2018 dans le cadre de la loi Pacte actuellement en discussion dans l'hémicycle, la privatisation de la Française des jeux (FDJ) et d'Aéroports de Paris (ADP) souhaitée par le gouvernement.
Bruno Le Maire, ministre français de l'Economie et des Finances va pouvoir désengager l'Etat de ces trois entreprises dont il détient respectivement 72, 50,63 et 24,1%. La législation actuelle - fixant des participations minimales - l'empêchait de la faire sans le feu vert des députés.
L'Etat devra cependant conserver "au minimum" 20% de FDJ. Mais pourra vendre tout ou partie de sa participation dans ADP estimée à 9,5 mrds€. La licence d'exploitation par le privé des aéroports parisiens sera cependant limité à soixante-dix ans, l'Etat reprenant ensuite la pleine propriété du foncier et des infrastructures. " Le prix de cession du groupe ADP sera supérieur à la somme des futurs dividendes actualisés. Sinon nous ne ferions pas l'opération ! (…) Et comme l'entreprise se porte bien, il vaut mieux vendre lorsque le cours est haut ", souligne Bruno Le Maire qui n'a pas encore précisé combien de parts vont être vendues. La cession ne devrait pas s'effectuer avant mi-février 2019, soit la date de publication des résultats annuels d'ADP.
Les députés doivent encore se prononcer sur le désengagement de l'Etat d'Engie dont il détient aujourd'hui 24,1% des parts. La loi l'oblige à être présent à hauteur du tiers du capital de l'ex-Gaz de France.
Bruno Le Maire, ministre français de l'Economie et des Finances va pouvoir désengager l'Etat de ces trois entreprises dont il détient respectivement 72, 50,63 et 24,1%. La législation actuelle - fixant des participations minimales - l'empêchait de la faire sans le feu vert des députés.
L'Etat devra cependant conserver "au minimum" 20% de FDJ. Mais pourra vendre tout ou partie de sa participation dans ADP estimée à 9,5 mrds€. La licence d'exploitation par le privé des aéroports parisiens sera cependant limité à soixante-dix ans, l'Etat reprenant ensuite la pleine propriété du foncier et des infrastructures. " Le prix de cession du groupe ADP sera supérieur à la somme des futurs dividendes actualisés. Sinon nous ne ferions pas l'opération ! (…) Et comme l'entreprise se porte bien, il vaut mieux vendre lorsque le cours est haut ", souligne Bruno Le Maire qui n'a pas encore précisé combien de parts vont être vendues. La cession ne devrait pas s'effectuer avant mi-février 2019, soit la date de publication des résultats annuels d'ADP.
Les députés doivent encore se prononcer sur le désengagement de l'Etat d'Engie dont il détient aujourd'hui 24,1% des parts. La loi l'oblige à être présent à hauteur du tiers du capital de l'ex-Gaz de France.