
Aéroport international de Larnaca (site officiel)
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CHYPRE. Mercredi 18 janvier 2012, les contrôleurs aériens chypriotes se sont mis en arrêt de travail pour s'opposer à la réduction de leurs salaires.
En effet, les économies visées par le gouvernement, dans le cadre du programme d'austérité, conduisent à une diminution des salaires de la fonction publique et à l'introduction d'un impôt temporaire dans le secteur privé. Objectif : ramener le déficit des comptes à 2,5% du produit intérieur brut en 2012 contre 6,0% en 2011.
L'arrêt de travail, d'une durée de quatre heures, a frappé environ 38 vols dans les deux sens sur les aéroports de Paphos et Larnaca. Le groupe Hermes Airports annonçait ainsi la fermeture de ces deux aéroports internationaux entre 13h et 17h.
Cette seconde grève après celle du 15 décembre 2011 pourrait être suivie d'un nouveau mouvement le 25 janvier 2012 si le gouvernement n'entend pas leurs revendications. Au plus grand dam des responsables d'entreprises et d'hôtels qui ont qualifié cette grève d'"inacceptable" car touchant directement le secteur touristique, principale économie de l'île.
Les contrôleurs aériens estiment devoir être exemptés du gel des salaires escompté par le gouvernement. Leurs salaires, financés par les compagnies aériennes utilisant l'espace aérien chypriote, ne seraient pas concernés par les mesures prises pour la fonction publique.
En effet, les économies visées par le gouvernement, dans le cadre du programme d'austérité, conduisent à une diminution des salaires de la fonction publique et à l'introduction d'un impôt temporaire dans le secteur privé. Objectif : ramener le déficit des comptes à 2,5% du produit intérieur brut en 2012 contre 6,0% en 2011.
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Cette seconde grève après celle du 15 décembre 2011 pourrait être suivie d'un nouveau mouvement le 25 janvier 2012 si le gouvernement n'entend pas leurs revendications. Au plus grand dam des responsables d'entreprises et d'hôtels qui ont qualifié cette grève d'"inacceptable" car touchant directement le secteur touristique, principale économie de l'île.
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