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Le président Michel Sleimane. (crédit Présidence de la République libanaise)
LIBAN. Le président libanais, Michel Sleimane, a annoncé jeudi 13 janvier 2011 dans l'après-midi que les consultations des différents partis politiques concernant la formation d'un nouveau gouvernement, débuteraient lundi 17 janvier 2011, à midi. En attendant, il a demandé à Saad Hariri et au gouvernement d'assurer l'intérim et d'expédier les affaires courantes.
Lors de ce processus, les différentes formations politiques se succèderont au palais de Baabda pour informer le président de la République de leur choix concernant le nom du prochain Premier ministre.
Mohammad Raad, un député influent du Hezbollah a d'ores et déjà annoncé dans la matinée que son parti opterait pour une personnalité qui témoignera d'un "passé de résistance nationale".
Quant à Samir Geagea, le leader des Forces libanaises, l'une des composantes de la majorité du 14 mars, a déclaré hier qu'il ne pouvait y avoir d'autre choix que Saad Hariri.
Conformément à la Constitution, le poste de Premier ministre échoit à une personnalité sunnite.
Lors de ce processus, les différentes formations politiques se succèderont au palais de Baabda pour informer le président de la République de leur choix concernant le nom du prochain Premier ministre.
Mohammad Raad, un député influent du Hezbollah a d'ores et déjà annoncé dans la matinée que son parti opterait pour une personnalité qui témoignera d'un "passé de résistance nationale".
Quant à Samir Geagea, le leader des Forces libanaises, l'une des composantes de la majorité du 14 mars, a déclaré hier qu'il ne pouvait y avoir d'autre choix que Saad Hariri.
Conformément à la Constitution, le poste de Premier ministre échoit à une personnalité sunnite.
La Bourse de Beyrouth en recul
La démission de dix ministres de l'opposition, à laquelle s'est ajoutée celle d'un ministre proche du président, mercredi 12 janvier 2011, a déclenché la chute du gouvernement Saad Hariri.
L'ensemble des chancelleries occidentales se sont dites inquiètes de la situation et de la crise politique libanaise. Mais, depuis plusieurs semaines déjà, le pays était en proie à la paralysie, le Conseil des ministres ne s'étant plus réuni, faute d'un consensus sur le TSL.
Pour l'heure, on ne connaît pas encore les répercussions économiques de la crise qui s'engage. Après l'annonce de l'effondrement du gouvernement mercredi 12 janvier 2011, la Bourse de Beyrouth a enregistré quelques remous, notamment le cours de Solidere, la société qui gère le centre-ville de Beyrouth, qui a chuté de 8,18%.
Lire aussi: Le gouvernement libanais s'effondre avec la démission de l'opposition
L'ensemble des chancelleries occidentales se sont dites inquiètes de la situation et de la crise politique libanaise. Mais, depuis plusieurs semaines déjà, le pays était en proie à la paralysie, le Conseil des ministres ne s'étant plus réuni, faute d'un consensus sur le TSL.
Pour l'heure, on ne connaît pas encore les répercussions économiques de la crise qui s'engage. Après l'annonce de l'effondrement du gouvernement mercredi 12 janvier 2011, la Bourse de Beyrouth a enregistré quelques remous, notamment le cours de Solidere, la société qui gère le centre-ville de Beyrouth, qui a chuté de 8,18%.
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