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LIBYE. Alors que les combats se poursuivent en Libye depuis jeudi 4 avril 2019 - l'armée du maréchal Haftar aurait abattu, mercredi 10 avril 2019, un avion militaire décollant de Misrata pour Tripoli - l'Onu tente, tant bien que mal, de se faire entendre.
Une énième fois, Antonio Guterres a demandé un "cessez-le-feu, mercredi 10 avril 2019, alors que le Conseil de sécurité réuni d'urgence à huis clos essaie d'accorder ses membres autour d'une résolution visant au même but. "Il est encore temps d'arrêter (...) il est encore temps qu'un cessez-le-feu ait lieu, qu'une cessation des hostilités ait lieu et que l'on évite le pire, qui serait une bataille dramatique et sanglante pour Tripoli. Il est encore temps de reconnaître qu'il n'y a pas de solution militaire", assure le secrétaire général de l'Onu. Selon lui, il faut "relancer un dialogue politique sérieux et une négociation politique sérieuse, mais il est évident que cela ne peut se faire sans arrêter complètement les hostilités."
La veille, Ghassan Salamé avait du se résoudre à reporter la Conférence nationale libyenne prévue du 14 au 16 avril 2019 à Ghadamès (Sud-Ouest du pays).
La France s'est distinguée en bloquant un communiqué commun de l'Union européenne exigeant que le maréchal Khalifa Haftar et son Armée nationale libyenne (ANL) autoproclamée stoppent son offensive sur la capitale Tripoli, siège du gouvernement d'union nationale (GNA) reconnu par la communauté internationale.
Une nouvelle fois, cet épisode montre le désaccord entre Paris et Rome sur le dossier de la Libye, ancienne colonie italienne mais aussi champ de bataille en 2011 entre Mouammar Kadhafi et ceux qui voulait le renverser avec l'appui de la France.
Le président du Parlement européen, l'Italien Antonio Tajani, a regretté cette division entre les deux pays et exhorté les pays de l'Union européenne a parlé d'une seule voix. Un nouveau projet de communiqué serait à l'étude à Bruxelles.
Une énième fois, Antonio Guterres a demandé un "cessez-le-feu, mercredi 10 avril 2019, alors que le Conseil de sécurité réuni d'urgence à huis clos essaie d'accorder ses membres autour d'une résolution visant au même but. "Il est encore temps d'arrêter (...) il est encore temps qu'un cessez-le-feu ait lieu, qu'une cessation des hostilités ait lieu et que l'on évite le pire, qui serait une bataille dramatique et sanglante pour Tripoli. Il est encore temps de reconnaître qu'il n'y a pas de solution militaire", assure le secrétaire général de l'Onu. Selon lui, il faut "relancer un dialogue politique sérieux et une négociation politique sérieuse, mais il est évident que cela ne peut se faire sans arrêter complètement les hostilités."
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La France s'est distinguée en bloquant un communiqué commun de l'Union européenne exigeant que le maréchal Khalifa Haftar et son Armée nationale libyenne (ANL) autoproclamée stoppent son offensive sur la capitale Tripoli, siège du gouvernement d'union nationale (GNA) reconnu par la communauté internationale.
Une nouvelle fois, cet épisode montre le désaccord entre Paris et Rome sur le dossier de la Libye, ancienne colonie italienne mais aussi champ de bataille en 2011 entre Mouammar Kadhafi et ceux qui voulait le renverser avec l'appui de la France.
Le président du Parlement européen, l'Italien Antonio Tajani, a regretté cette division entre les deux pays et exhorté les pays de l'Union européenne a parlé d'une seule voix. Un nouveau projet de communiqué serait à l'étude à Bruxelles.