Voir aussi
-
Abdoulaye Bathily devient le nouvel envoyé spécial du secrétaire général de l'Onu en Libye
-
Les armes parlent de nouveau en Libye
-
Le spectre d'une troisième guerre civile libyenne hante les faubourgs de Tripoli
-
L'Onu s'alarme de la volatilité de la situation sécuritaire en Libye
-
Sonatrach, Occidental Petroleum, Eni et TotalEnergy vont forer ensemble 100 puits pétroliers à Berkine

Irahim Al Jarari, président des chambres de commerce libyennes demande un dégel des avoirs (Photo F.Dubessy)
LIBYE. "Pour pouvoir reprendre sa croissance, la Libye attend d'urgence le dégel de ses avoirs à l'étranger."
Pour Ibrahim Al Jarari, président de la Fédération des chambres libyennes de commerce et de la Chambre de commerce de Tobrouk, son pays "n'a pas besoin d'aide internationale pour repartir. Nous ne demandons rien à personne."
Interrogé lors de la Semaine méditerranéenne des leaders économiques qui se tient a Barcelone du 21 au 25 novembre 2011, le chef d’entreprise se veut convaincant : "La Libye·est un pays riche qui a seulement besoin de récupérer ses avoirs pour financer les travaux nécessaires au redémarrage de son économie."
Pour Ibrahim Al Jarari, président de la Fédération des chambres libyennes de commerce et de la Chambre de commerce de Tobrouk, son pays "n'a pas besoin d'aide internationale pour repartir. Nous ne demandons rien à personne."
Interrogé lors de la Semaine méditerranéenne des leaders économiques qui se tient a Barcelone du 21 au 25 novembre 2011, le chef d’entreprise se veut convaincant : "La Libye·est un pays riche qui a seulement besoin de récupérer ses avoirs pour financer les travaux nécessaires au redémarrage de son économie."