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ALGÉRIE. Le grand port d’Alger devrait recevoir l’aide financière des banques chinoises. Un montant évalué à 3,2 mrds € qui porte principalement sur des projets d’équipement du site d’El Hamdania, selon El Watan.
Si aucune demande officielle n’a été formulée, l’ambassadeur de Chine à Alger, Yang Guangyu, donne des informations : « Ce n’est pas un prêt d’État à État. Des responsables algériens ont exprimé des souhaits dans ce sens, mais jusqu’à ce jour (NDLR : 18 janvier 2015), il n’y a rien de concret ».
Ainsi, le ministre du commerce, Bakhti Belaïb, qui parlait de recourir à des financements extérieurs, dont chinois. Un choix justifié par « la faiblesse des taux d’intérêt de la Chine et la qualité des relations entre les deux pays ».
Ce projet porte sur la création d’une société de droit algérien composée du groupe public des services portuaires et de deux compagnies chinoises (CSCEC et CHEC). « Il appartient à cette entreprise mixte algéro-chinoise de solliciter des prêts auprès d'une ou plusieurs banques chinoises » déclare Yang Guangyu.
L’ambassadeur s’appuie, comme argument, sur l’engagement du chef de l’État Chinois, Xi Jinping lors du Forum de coopération Chine-Afrique, de fournir des soutiens financiers à hauteur de 55 mrds € sur une période de trois ans.
Il explique aussi l’intérêt de la Chine pour l’Algérie : « Pour les onze premiers mois de l'année 2015, le volume des échanges commerciaux entre les deux pays se situe entre 7 et 8 milliards de dollars. »
Si aucune demande officielle n’a été formulée, l’ambassadeur de Chine à Alger, Yang Guangyu, donne des informations : « Ce n’est pas un prêt d’État à État. Des responsables algériens ont exprimé des souhaits dans ce sens, mais jusqu’à ce jour (NDLR : 18 janvier 2015), il n’y a rien de concret ».
Ainsi, le ministre du commerce, Bakhti Belaïb, qui parlait de recourir à des financements extérieurs, dont chinois. Un choix justifié par « la faiblesse des taux d’intérêt de la Chine et la qualité des relations entre les deux pays ».
Ce projet porte sur la création d’une société de droit algérien composée du groupe public des services portuaires et de deux compagnies chinoises (CSCEC et CHEC). « Il appartient à cette entreprise mixte algéro-chinoise de solliciter des prêts auprès d'une ou plusieurs banques chinoises » déclare Yang Guangyu.
L’ambassadeur s’appuie, comme argument, sur l’engagement du chef de l’État Chinois, Xi Jinping lors du Forum de coopération Chine-Afrique, de fournir des soutiens financiers à hauteur de 55 mrds € sur une période de trois ans.
Il explique aussi l’intérêt de la Chine pour l’Algérie : « Pour les onze premiers mois de l'année 2015, le volume des échanges commerciaux entre les deux pays se situe entre 7 et 8 milliards de dollars. »