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ISRAËL. Face aux échecs successifs de Benyamin Netanyahou puis de Benny Gantz à former un gouvernement, Reuven Rivlin, président israélien, avait confié le 21 novembre 2019 à la Knesset le soin de désigner un chef de gouvernement en fixant un délai de vingt-et-un jours pour y parvenir.
L'entente n'a pas été possible entre les différents partis du Parlement israélien. L'assemblée a donc été dissoute mercredi 11 décembre 2019 à minuit, installant encore plus la crise politique dans un pays déjà frappé par la mise en examen pour corruption, abus de confiance et malversations de son chef de gouvernement sortant, Benyamin Netanyahou.
Les Israéliens vont donc devoir retourner aux urnes, le 2 mars 2020, pour la troisième fois en moins d'un an (9 avril 2019 et 17 septembre 2019).
Benny Gantz (parti centriste Bleu Blanc) et Benyamin Netanyahou (Likoud), au coude-à-coude lors des dernières législatives, vont donc à nouveau en découdre, puis, surtout tenter enfin de trouver la bonne formule pour rallier soixante-et-un députés (la majorité) sur leur nom et constituer une coalition gouvernementale ou un gouvernement d'union nationale comme le suggérait le président israélien.
L'entente n'a pas été possible entre les différents partis du Parlement israélien. L'assemblée a donc été dissoute mercredi 11 décembre 2019 à minuit, installant encore plus la crise politique dans un pays déjà frappé par la mise en examen pour corruption, abus de confiance et malversations de son chef de gouvernement sortant, Benyamin Netanyahou.
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