
La nouvelle assemblée nationale française
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FRANCE. Avec 314 sièges pour les socialistes et leurs alliés, 17 sièges pour EELV (Europe Écologie Les Verts) et 10 sièges pour le Front de gauche, l'Assemblée nationale française change de main et prend la couleur de la majorité gouvernementale. Désormais, le nouveau président François Hollande et son premier ministre Jean-Marc Ayrault contrôlent l'ensemble du Parlement (le Sénat étant déjà passé à gauche) et vont donc pouvoir mettre en place leur politique. L'ensemble des ministres qui se présentaient à la députation ont été élus. Ils seront remplacés par leurs suppléants.
La droite (UMP et alliés) n'obtient que 215 sièges tandis que le Front national refait après quatorze ans d'absence son entrée dans l’hémicycle, mais sans sa numéro un Marine Le Pen battue sur ses terres par le socialiste Philippe Kemel de quelques voix (elle s'est vue refuser un recomptage des bulletins et dépose un recours au Conseil constitutionnel). Elle se console en voyant entrer sa jeune nièce Marion Maréchal - le Pen, désormais benjamine de l'Assemblée nationale.
Autre leader à échouer, François Bayrou, le président du Modem, qui devra se contenter de seulement deux députés.
Parmi les autres grands déçus et déchus de ce second tour figurent Ségolène Royal (qui visait pourtant la présidence de l'Assemblée !), Michèle Alliot-Marie, Nadine Morano...
À noter une participation de 55,6%, la plus faible depuis le début de la cinquième république en 1958 pour un second tour des élections législatives.
Voir la liste des députés élus
La droite (UMP et alliés) n'obtient que 215 sièges tandis que le Front national refait après quatorze ans d'absence son entrée dans l’hémicycle, mais sans sa numéro un Marine Le Pen battue sur ses terres par le socialiste Philippe Kemel de quelques voix (elle s'est vue refuser un recomptage des bulletins et dépose un recours au Conseil constitutionnel). Elle se console en voyant entrer sa jeune nièce Marion Maréchal - le Pen, désormais benjamine de l'Assemblée nationale.
Autre leader à échouer, François Bayrou, le président du Modem, qui devra se contenter de seulement deux députés.
Parmi les autres grands déçus et déchus de ce second tour figurent Ségolène Royal (qui visait pourtant la présidence de l'Assemblée !), Michèle Alliot-Marie, Nadine Morano...
À noter une participation de 55,6%, la plus faible depuis le début de la cinquième république en 1958 pour un second tour des élections législatives.