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ETATS-UNIS / ISRAËL. Lors de la conférence annuelle de l'American Israel Public Affairs Committee (Aipac - 26 au 28 mars 2017 à Washington), Nikki Haley a fait sensation, en lançant que "le dénigrement de l'Etat hébreux aux Nations-Unies c'est fini !"
La nouvelle ambassadrice des États-Unis à l'Onu annonce la couleur de la politique voulue par Donald Trump sur ce dossier. Au centre des oppositions avec son prédécesseur figure notamment le refus de Barack Obama, en décembre 2016, de poser son veto à la résolution 2334 du Conseil de sécurité des Nations Unies, condamnant la colonisation israélienne dans les Territoires palestiniens. Une première depuis 1979.
Face au premier lobby américain pro-israélien auprès du Congrès et de la Maison Blanche, Nikki Haley s'est empressée d'indiquer, "c'est arrivé, mais ça n'arrivera plus !" Cette résolution n'a cependant pas changé grand chose sur le terrain. La colonisation s'est même intensifiée depuis l'élection de Donald Trump.
Au cours de la même réunion, Benjamin Netanyahu, via video-conférence, s'est félicité de cette position : "Israël n'a pas d'ami plus cher que l'Amérique et l'Amérique n'a pas de meilleur ami qu'Israël", commentait-il. Le premier ministre israélien y est aussi allé de sa petite provocation en lâchant "j'ai hâte d'accueillir chaleureusement en Israël et spécialement à Jérusalem" le nouvel ambassadeur des États-Unis David Friedman tout juste nommé et donc, favorable au déménagement de l'ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem.
La nouvelle ambassadrice des États-Unis à l'Onu annonce la couleur de la politique voulue par Donald Trump sur ce dossier. Au centre des oppositions avec son prédécesseur figure notamment le refus de Barack Obama, en décembre 2016, de poser son veto à la résolution 2334 du Conseil de sécurité des Nations Unies, condamnant la colonisation israélienne dans les Territoires palestiniens. Une première depuis 1979.
Face au premier lobby américain pro-israélien auprès du Congrès et de la Maison Blanche, Nikki Haley s'est empressée d'indiquer, "c'est arrivé, mais ça n'arrivera plus !" Cette résolution n'a cependant pas changé grand chose sur le terrain. La colonisation s'est même intensifiée depuis l'élection de Donald Trump.
Au cours de la même réunion, Benjamin Netanyahu, via video-conférence, s'est félicité de cette position : "Israël n'a pas d'ami plus cher que l'Amérique et l'Amérique n'a pas de meilleur ami qu'Israël", commentait-il. Le premier ministre israélien y est aussi allé de sa petite provocation en lâchant "j'ai hâte d'accueillir chaleureusement en Israël et spécialement à Jérusalem" le nouvel ambassadeur des États-Unis David Friedman tout juste nommé et donc, favorable au déménagement de l'ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem.