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ISRAËL. Le sang coule de nouveau en Israël et dans les territoires occupés. Pour les 70 ans de la création de l’État d'Israël, les États-Unis ouvrent aujourd'hui (14 mai) leur nouvelle ambassade dans Jérusalem-Est, au grand dam des palestiniens et de la communauté internationale. Plus d'un millier de policiers est mobilisé pour assurer la sécurité de l'inauguration.
En réalisant sa promesse électorale, le président des États-Unis Donald Trump montre tout son mépris pour les résolutions de l'ONU concernant le statut de Jérusalem. 128 des 193 pays siégeant à l'ONU, dont de proches alliés comme la France ou le Royaume Unis, ont condamné la décision de Donald Trump. Le Président de la première puissance mondiale prend le risque d’enflammer toute la région et d'isoler encore un peu plus son pays.
Les palestiniens de la bande de Gaza ont annoncé leur volonté de marcher vers la frontière israélienne pour tenter de la franchir. Les précédentes manifestations de ces dernières semaines ont déjà fait plus de 50 morts palestiniens, l'armée tirant à balles réelles. Pour contenir les manifestants, le gouvernement d'Israël a doublé le nombre de militaires présents à la frontière. A 14 heures lundi 14 mai, on dénombrait déjà plus de 25 palestiniens tués.
Les israéliens considèrent Jérusalem comme leur capitale « éternelle ». Ils se sont emparés de la ville en 1967. De leur coté, les Palestiniens entendent faire de Jérusalem-Est la capitale de l’État qu'ils souhaitent créer. Pour l'ONU et la communauté internationale, les israéliens occupent illégalement Jérusalem-Est, dont le statut doit être négocié.
Israël semble se satisfaire de l'état de guerre permanent dans lequel vit le pays depuis 70 ans. Son économie est l'une des plus prospère de la région, avec un taux de croissance de son PIB de 3,4% en 2017 et un taux de chômage de 4,2%.
En réalisant sa promesse électorale, le président des États-Unis Donald Trump montre tout son mépris pour les résolutions de l'ONU concernant le statut de Jérusalem. 128 des 193 pays siégeant à l'ONU, dont de proches alliés comme la France ou le Royaume Unis, ont condamné la décision de Donald Trump. Le Président de la première puissance mondiale prend le risque d’enflammer toute la région et d'isoler encore un peu plus son pays.
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