
Les cinq dirigeants des Brics réclament une solution politique au conflit syrien (photo : Brics summit)
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SYRIE. Réunis à Xiamen en Chine du 3 au 5 septembre 2017, les dirigeants du groupe des Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) ont, dans leur conclusion finale, réaffirmé leur soutien aux conférences d'Astana et de Genève sur la crise en Syrie.
Selon eux, l'établissement de zones de désescalade favorise les pourparlers de paix sous l'égide de l'Onu. Ils se disent attachés à une solution politique du conflit et donc à la résolution n°2254 du Conseil de sécurité des Nations Unies. Et rejettent en bloc l'utilisation d'armes chimiques en Syrie, "par n'importe quelle partie et quels que soient les objectifs et circonstances".
Les Brics réclament en outre une coalition élargie pour lutter contre le terrorisme. "Si nous adoptions une approche holistique de la lutte contre le terrorisme sous toutes ses formes et traitons à la fois ses symptômes et ses causes profondes, les terroristes n'auront aucun lieu où se cacher. Lorsque le dialogue, la consultation et la négociation sont menées pour créer des conditions au règlement de problèmes politiques comme en Slovénie, en Libye et pour le conflit israélo-palestinien, la flamme de la guerre peut être éteinte et les réfugiés déplacés finiront par rentrer chez eux", soulignait Xi Jinping, président de la République de Chine, dimanche 3 septembre 2017, en ouverture du sommet.
Représentée lors de ce sommet aux côtés de quatre autres pays également observateurs, l'Égypte pourrait rejoindre le groupe Brics Plus en cours de création.
Selon eux, l'établissement de zones de désescalade favorise les pourparlers de paix sous l'égide de l'Onu. Ils se disent attachés à une solution politique du conflit et donc à la résolution n°2254 du Conseil de sécurité des Nations Unies. Et rejettent en bloc l'utilisation d'armes chimiques en Syrie, "par n'importe quelle partie et quels que soient les objectifs et circonstances".
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