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A partir du mois de juillet 2010, deux ans de travaux et une quarantaine de millions d’euros d’investissement seront nécessaires pour donner naissance à cet écrin aux dimensions monumentales (200 mètres de long sur 18 mètres de haut) signé des architectes Rudy Ricciotti et Laurent Bonhomme.
Ce projet phare n’a pas échappé aux rigueurs de la conjoncture. Les offres des entreprises ayant largement dépassé le devis initial, l’agence européenne Fusion for Energy a dû revoir sa copie, regroupant à l’intérieur du bâtiment principal différents services qui devaient être logés dans des immeubles annexes.
« On a rationalisé le projet afin de rester dans l’enveloppe financière prévisionnelle », explique Jérôme Pamela directeur général de l’agence Iter France.
Trois bâtiments au lieu des six inititalement prévus
Les six bâtiments prévus à l’origine ne sont plus que trois : le bâtiment principal de bureaux sur cinq niveaux (incluant un amphithéâtre et un espace restauration) et deux bâtiments pour la gestion des accès, l’accueil des visiteurs et le service médical.
Cette reconfiguration a entrainé une légère diminution de la surface constructible, passée de 21.800 à 20.500 m2. Elle n’a toutefois pas dénaturé le parti architectural du projet.
L’immense immeuble de bureaux se présente toujours « comme un socle virtuel au plateau du réacteur qui le surplombe ». Ses volumes seront atténués par la présence massive de la machine Iter, un géant de béton qui culminera à 50 mètres de haut.
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