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ALGÉRIE. Ça fertilise chez Leather Industry, groupe public algérien spécialisé dans le cuir, qui transformera les déchets solides et nocifs des tanneries en engrais.
Le Conseil des participations de l'État s'était penché sur ce projet en mars 2011 et autorisait ainsi le groupe à contracter des crédits bancaires de 200 M de dinars (2 M€) pour le concrétiser. Le ministère de l'Agriculture avait été sollicité pour l'appui technique.
Le projet : traiter 7 500 tonnes de déchets par an sur la base d'une capacité de traitement de 30 tonnes par jour.
Une quantité relativisée quand on connaît la consommation algérienne d'engrais, estimée à 300 000 tonnes par an. Mais le PDG du groupe, Chouaïb ZaouidiM. Zaouidi, indique que le projet "permettra de fabriquer un produit utile et de régler en même temps un problème environnemental très préjudiciable au développement de l'industrie".
Chouaïb Zaouidi souligne avant tout qu'il est "impossible d'évacuer ces déchets (solides) dans les décharges publiques ni dans les décharges techniques spécifiques" qui n'existent pas en Algérie tandis que la destruction par incinération provoquerait l'émission de fumées toxiques.
Reste à organiser le système de collecte de déchets à l'échelle nationale pour l'activité de la tannerie.
Le Conseil des participations de l'État s'était penché sur ce projet en mars 2011 et autorisait ainsi le groupe à contracter des crédits bancaires de 200 M de dinars (2 M€) pour le concrétiser. Le ministère de l'Agriculture avait été sollicité pour l'appui technique.
Le projet : traiter 7 500 tonnes de déchets par an sur la base d'une capacité de traitement de 30 tonnes par jour.
Une quantité relativisée quand on connaît la consommation algérienne d'engrais, estimée à 300 000 tonnes par an. Mais le PDG du groupe, Chouaïb ZaouidiM. Zaouidi, indique que le projet "permettra de fabriquer un produit utile et de régler en même temps un problème environnemental très préjudiciable au développement de l'industrie".
Chouaïb Zaouidi souligne avant tout qu'il est "impossible d'évacuer ces déchets (solides) dans les décharges publiques ni dans les décharges techniques spécifiques" qui n'existent pas en Algérie tandis que la destruction par incinération provoquerait l'émission de fumées toxiques.
Reste à organiser le système de collecte de déchets à l'échelle nationale pour l'activité de la tannerie.