
Turkish Railways History, compagnie des chemins de fer en Turquie créée en 1856 (photo Turquie.fr-com)
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EUROPE DE L'EST / TURQUIE. La durée de la liaison ferroviaire qui relie Ljubljana en Slovénie et Istanbul en Turquie pourrait être divisée par deux selon l'analyse de la Banque Mondiale, publiée mardi 14 juin 2011. Le rapport souligne l'importance des réformes dans le secteur ferroviaire.
La Banque Mondiale développe des stratégies pour la reconstruction et le développement de pays en difficulté grâce à des aides, financements et conseils à ces États.
Carolina Monsalve, économiste de la Banque mondiale spécialisée dans les transports, liste un certain nombre de défauts qui entourent la liaison ferroviaire entre la Turquie et le sud-est de l'Europe. Le rapport démontre qu'un colis pourrait atteindre Istanbul, de Ljubljana, en 35 heures alors que, pour l'instant, la transmission requiert un minimum de 60 heures.
Permettre une meilleure coordination, améliorer le management et l'organisation du trafic ferroviaire, tout en se rapprochant des standards de l'UE et ouvrir le secteur ferroviaire à la compétition (sous-entendant la privatisation complète du secteur) illustrent les choix stratégiques que recommande la Banque mondiale pour Europe de l'est et la Turquie.
Les réformes engagées dans ce sens, permettront, selon le rapport, d'accroître le bénéfice du secteur ferroviaire, d'augmenter les échanges commerciaux entre les pays, et d'être mieux "orienté business". Carolina Monsalve, souligne enfin l'importance "de prendre en considération les besoins du consommateurs, de les satisfaire de manière efficace, avec des services rentables".
La Banque Mondiale développe des stratégies pour la reconstruction et le développement de pays en difficulté grâce à des aides, financements et conseils à ces États.
Carolina Monsalve, économiste de la Banque mondiale spécialisée dans les transports, liste un certain nombre de défauts qui entourent la liaison ferroviaire entre la Turquie et le sud-est de l'Europe. Le rapport démontre qu'un colis pourrait atteindre Istanbul, de Ljubljana, en 35 heures alors que, pour l'instant, la transmission requiert un minimum de 60 heures.
Permettre une meilleure coordination, améliorer le management et l'organisation du trafic ferroviaire, tout en se rapprochant des standards de l'UE et ouvrir le secteur ferroviaire à la compétition (sous-entendant la privatisation complète du secteur) illustrent les choix stratégiques que recommande la Banque mondiale pour Europe de l'est et la Turquie.
Les réformes engagées dans ce sens, permettront, selon le rapport, d'accroître le bénéfice du secteur ferroviaire, d'augmenter les échanges commerciaux entre les pays, et d'être mieux "orienté business". Carolina Monsalve, souligne enfin l'importance "de prendre en considération les besoins du consommateurs, de les satisfaire de manière efficace, avec des services rentables".