
Les membres des différentes associations ont mis en valeur le tourisme solidaire lors de la SEM. Crédit photo : Charlène Dizac
MÉDITERRANÉE. Alternative au tourisme de masse, le tourisme solidaire permet à un voyageur de connaître un pays tout en respectant son environnement et sa culture.
Dans les pays nord-africains, il existe de nombreuses associations essayant de promouvoir ce type de tourisme. Elles ont un objectif commun : améliorer les conditions de vie des populations locales. « Nous avons construit une auberge de jeunesse dans le village de Tanaïl (Liban). Elle nous rapporte à l’année 160 millions de livres libanaises (84 800 €). Cet argent est réinvesti pour les habitants libanais. » ajoute Thomas Mc Grane, membre de l’association Arc-en-ciel qui intervenait, jeudi 6 novembre 2014 lors de la Semaine économique de la Méditerranée à Marseille.
Cette façon de voyager n’est pas accessible à tous car, le prix est, logiquement, élevé pour les touristes. « Avec notre association, les voyageurs paient 12% plus cher sur tout (hôtel, excursion, restaurant) par rapport à des agences de voyage normales. Cette augmentation nous permet de construire des écoles, par exemple, en Afrique de l’Ouest » précise pour sa part Henri Dalbies, président de l’Institut de Coopération pour le Développement (ICD) en Afrique.
Dans les pays nord-africains, il existe de nombreuses associations essayant de promouvoir ce type de tourisme. Elles ont un objectif commun : améliorer les conditions de vie des populations locales. « Nous avons construit une auberge de jeunesse dans le village de Tanaïl (Liban). Elle nous rapporte à l’année 160 millions de livres libanaises (84 800 €). Cet argent est réinvesti pour les habitants libanais. » ajoute Thomas Mc Grane, membre de l’association Arc-en-ciel qui intervenait, jeudi 6 novembre 2014 lors de la Semaine économique de la Méditerranée à Marseille.
Cette façon de voyager n’est pas accessible à tous car, le prix est, logiquement, élevé pour les touristes. « Avec notre association, les voyageurs paient 12% plus cher sur tout (hôtel, excursion, restaurant) par rapport à des agences de voyage normales. Cette augmentation nous permet de construire des écoles, par exemple, en Afrique de l’Ouest » précise pour sa part Henri Dalbies, président de l’Institut de Coopération pour le Développement (ICD) en Afrique.